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Cet ouvrage est une sorte de petit guide pratique proche du terrain. Il analyse de manière critique les textes principaux applicables à la profession d’avocat. Il décode les adages qui souvent donnent une vision inexacte de la situation. Mais surtout il décrit la vie d’un avocat, de sa prestation de serment et même bien avant, à l’honorariat qui peut lui être attribué lorsqu’il prend sa retraite. Les conditions d’activités nouvelles, de nature commerciale sont mentionnées. L’auteur lui-même apporte son expérience, ses réflexions. Les descriptions ne manquent pas de sel. Le ton est parfois ironique, voire humoristique, le style, vivant.
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Qu’est-ce qu’un nouveau-né ? Quelle est sa place sur la scène juridique ? Telles sont les questions auxquelles cet ouvrage a pour ambition de répondre. Au fur et à mesure de la découverte de cette notion, l’étude éprouve les conditions traditionnellement admises pour accéder à la personnalité juridique, et propose de comprendre certaines questions de société selon une nouvelle perspective : gestation pour autrui, réanimation néonatale, fin de vie, naissance en prison… Étudier le nouveau-né, c’est s’intéresser à un être qui n’a aucune autonomie, aucun discernement, qui ne peut pas s’autodéterminer, et surtout qui est dépourvu d’acte de naissance : sa soumission aux adultes est absolue. Le droit doit donc assurer sa protection en limitant cette soumission, ce qu’il ne fait que très imparfaitement.
Les concepts de vie privée, intimité et secret, de nos jours, interpellent le chercheur. Internet défie toute velléité à cacher. L’invitation du président Wilson à privilégier : « des pactes de paix ouverts, conclus ouvertement… » est très suggestive et reste encore d’actualité. Aussi, en droit, les notions de silence, discrétion et réserve renvoient seulement à quelques facettes du principe du secret. Elles ne permettent pas de l’appréhender dans toute sa complexité. Le droit des relations internationales renseigne suffisamment du recours au secret. Seulement, toute application du secret au grand dam de la dignité de la personne humaine ne peut s’inscrire dans une juste appréciation des relations internationales. Aujourd’hui, face à une remise en cause des principes et de l’éthique à cause d’un relativisme ambiant, faisant ainsi le lit à une éthique du « sable mouvant », produit de la « génération liquide », la réflexion sur le principe du secret en droit des relations internationales est légitime et d’actualité.
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