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What would our planet be like if women were in charge ? Would it be different ? What would be the fundamental changes to our lives ? These are the questions Muriel de Saint Sauveur poses to one hundred economically, politically and culturally prominent women, coming from thirty-three countries across five different continents. Amongst them are the Chinese writer and photographer Xiao Hui Wang ; Assana Sangare-Ouattara, deputy of the National Assembly in the Ivory Coast ; the Egyptian businesswoman Loula Zaklama and also French women including Françoise Gri, president of Manpower France and Marie-Jo Zimmermann, president of the French National Assembly's delegation on women's rights and gender equality. More involved, more ambitious and less egocentric, their priorities are different to those of men. Economy and strategy are not at the top of their lists, instead they view education as an essential objective towards social emancipation and living together in harmony. Their optimistic perception of the world envisions an organisation different to that of our society today.
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Les rares femmes au pouvoir, dans l'entreprise ou en politique, ont longtemps été considérées avec méfiance. Suspectes "d'être pire que les hommes", d'avoir réussi grâce à une promotion canapé, d'avoir de l'ambition, un gros mot pour le sexe faible
Ce livre est une analyse critique de la théorie selon laquelle les femmes et les hommes, les hétérosexuel(le)s et homosexuel(le)s, auraient des prédispositions psychologiques différentes en raison de l'influence (ou pas) de certaines hormones sur leur cerveau pendant la vie fœtale. Cette « théorie hormonale de l'organisation cérébrale » est présentée comme un fait établi dans la plupart des manuels de psychologie, médecine, journaux scientifiques, grands médias et livres à succès. Ainsi, les hormones prénatales conditionneraient l'orientation et les comportements sexuels des femmes et des hommes, leurs aptitudes cognitives ou encore leurs centres d'intérêt, créant entre...
Les auteurs proposent une économie solidaire, alternative au modèle néolibéral aux inégalités croissantes. Si les critères d'évaluation de la richesse doivent être modifiés, afin d'intégrer la notion de développement, le caractère pluriel de l'économie doit également être reconnu. Enfin, les bases d'une gouvernance démocratique mondiale sont à poser.
A quoi ressemblerait la société si les femmes se voyaient confier la gouvernance du monde ? Comment le réformeraient-elles ? Est-ce que leurs priorités seraient différentes ? Qu'est-ce qui changerait concrètement dans nos vies ?Telles sont les questions posées par Muriel de Saint Sauveur à cent femmes, la plupart chefs d'entreprise, responsables politiques ou culturelles, vivant dans 32 pays différents.Parmi elles, quinze Françaises dont la banquière Gilberte Beaux, l'économiste Sylvie Brunel, Clara Gaymard, présidente de General Electric France, Françoise Gri, présidente de Manpower France, Marie-Jo Zimmermann députée de la Moselle, présidente de la délégation de l'Assem...
Présente les éléments techniques et les concepts économiques indispensables à une analyse pertinente du secteur des télécommunications. « Copyright Electre »
On se doutait que les femmes consacrent plus de temps que les hommes aux tâches domestiques. Mais pas dans de telles proportions : 3 fois plus, soit plus de 4 heures par jour, alors que la majorité d'entre elles travaillent à l'extérieur. On pensait la ménagère de moins de 50 ans en voie de disparition, or ce livre montre la résistance de la séparation des rôles entre femmes et hommes dans la sphère domestique et son incidence sur la sphère professionnelle. Mais aussi l'intérêt qu'il y a à partager ces tâches, et à les valoriser.
Comment se fabriquent les filles et les garçons ? Comment se forgent nos identités de femmes et d'hommes ? Dans ce livre, l'auteure explique le rôle clé de la plasticité cérébrale, nous donnant à voir un cerveau en perpétuelle évolution au gré des interactions avec son environnement. D'où une conclusion en forme de réflexion éthique. Car cette permanence du changement met à mal la justification des inégalités entre les sexes par un ordre biologique, porte ouverte aux "ismes" : sexisme, racisme, élitisme. Bonne nouvelle !