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"Rencontrer "l'homme de la douleur" soulève de nombreuses questions : qu'est-ce qui différencie la souffrance de la douleur ? Comment évaluer l'expérience douloureuse alors que celle-ci se montre à autrui plus facilement qu'elle ne se raconte ? Comment se fait-il que la douleur puisse saisir l'homme jusqu'à l'entraîner dans une expérience proche de la mort ? A contrario, comment celle-ci peut-elle s'oublier d'un instant à l'autre à la faveur d'un détournement de l'attention ? Bien d'autres questions sont abordées et illustrées ici par deux cliniciens dialoguant au chevet des malades. Chemin faisant, le plus jeune découvre et apprend de son aîné que le savoir et le savoir-faire ne suffisent pas pour approcher "l'homme de la douleur". Au cœur de l'humanité, chacun – soigné et soignant – recherche aussi chez l'autre ce qui lui permet d'être reconnu, accueilli et écouté afin de trouver ensemble les traitements les mieux adaptés et par conséquent les plus efficaces : un chemin audacieux au cours duquel celui qui se plaignait de douleur pourra enfin s'apaiser" [Source : 4e de couv.]
La 4e de couv. indique : « La naissance est douleur, la vieillesse est douleur, la maladie est douleur, le traumatisme est douleur... La prise en charge de la douleur ne peut pas se réduire à une lutte contre un symptôme. C'est toujours d'un homme douloureux dont il est question avec son histoire et sa culture. L'association de la clinique, de la philosophie et de la littérature permet ici de découvrir les nombreux phénomènes qui s'échangent, s'entrecroisent et s'influencent alors qu'une personne souffre et s'en plaint par une adresse toujours singulière. Entre une indifférence redoutée et une reconnaissance espérée, "Se plaindre de douleur" met à l'épreuve l'humanisation de la rencontre entre le plaignant et celui à qui la plainte est adressée. Comprendre ces phénomènes et les introduire dans sa pratique soignante, alliant ainsi les sciences humaines aux technosciences, revient à suivre un chemin audacieux sur lequel celui qui se plaignait de douleur manifestera sa gratitude."[Source : 4e de couv.]
This vitally important book attempts to move beyond the current death-denying culture. The use of euphemistic and defiant phrases when dealing with terminal disease such as “She lost her battle with cancer” was more appropriate when medical doctors could do little to prolong life. But treatments and technologies have significantly changed. Now life prolonging interventions have outpaced our willingness to use medical intervention to secure patient control over death and dying. We now face a new question: When is it morally appropriate for medical intervention to hasten the dying process? LiPuma and DeMarco answer by endorsing expanded options for dying patients. Unwanted aggressive treatment regimens and protocols which reject hastening death should be replaced by a patient’s moral right, in carefully defined circumstances, to hasten death by means of medical intervention. Expanded options range from patient directed continuous sedation without hydration to physician assisted suicide for those with progressive degenerative disorders such as Alzheimer’s. The authors’ overriding goal is to humanize the dying process by expanding patient centered autonomous control.
Comment accueillir la douleur de la personne que l’on soigne ou que l’on accompagne ? Comment avoir une meilleure écoute de ce qu’elle exprime, notamment en cas de douleurs chroniques ou quand il est question de fibromyalgie ? La douleur est difficile à exprimer. Bien plus qu’un symptôme, elle transforme la personne qui souffre. Forts de leur longue expérience auprès des malades, les docteurs Charles Joussellin et Gérard Ostermann proposent une méthode innovante afin de mieux accueillir la souffrance de la personne et découvrir ce dont elle a besoin pour une prise en charge adaptée. Cette approche place la qualité de la relation humaine au cœur du soin. À partir de situat...
Une réflexion philosophique sur la réduction du corps à une machine dans la médecine. Elle examine différentes conceptions de la corporéité de Platon à aujourd'hui en passant par Descartes avant de pointer les excès d'une pratique médicale réifiante.
Dall'incontro a sorpresa con un compagno di giochi della sua infanzia, perso di vista per interi decenni, Eugénie Poret prende lo spunto per interrogarsi sui segnali che riceviamo dalla vita, offrendoci un modo originale per affrontare e interpretare l'inconcepibile realtà delle persone ammalate allo stadio terminale. Io resto è la prima tavola di un polittico che racconta anche il dopo, quando l'assenza trasforma il dolore in forza vitale. Un testo scritto come un lungo poema filosofico impressionista, dove sofferenza gioco e speranza s'intrecciano nella grazia di un rapporto umano illuminato con tocchi delicati, personali e filosofici.
La 4e de couverture indique : "L'Être selon Heidegger ne doit plus être pensé en termes de fondement, de substrat, de substance ou de principe, mais dans sa fonction propre, qui est d'ouvrir phénoménologiquement le champ de la manifestation. Phénoménologie qu'Heidegger caractérise comme tentative de « faire voir ce qui se montre de lui-même tel qu'il se montre à partir de lui-même ». Ce qui se montre à la conscience est l'irruption d'une conviction : celle qu'il y a en l'homme quelque chose de nécessaire, d'universel et de général. Le contexte de soin permet le dévoilement phénoménologique d'une vérité ontologique donnée dans l'immanence d'une même temporalité. La re...
L’hypnose suscite un engouement toujours plus grand auprès des professionnels de la santé. Les troubles anxieux et dépressifs, les traumatismes psychiques, les deuils, les difficultés professionnelles, le manque de confiance et d’estime de soi, les troubles du comportement alimentaire, les troubles du sommeil et les problèmes sexuels sont quelques-unes des indications de l’hypnose en psychothérapie. Au niveau somatique, l’hypnose apporte un réel soulagement dans les douleurs chroniques et aiguës, l’asthme, le côlon irritable, les allergies, le psoriasis, l’eczéma, etc. Elle est également utilisée comme thérapie adjuvante dans l’accompagnement des maladies graves te...