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Ce livre a pour ambition de mettre au jour la pensee a l'oeuvre dans la peinture moderne en replacant au coeur de la recherche la notion d'hallucination, notion centrale s'il en est pour le XIXe siecle qui associe la creation artistique aux etudes psychophysiologiques . Au plus pres des oeuvres et des enonces constituant aussi bien la peinture moderne que l'idee moderne de l'art, entre Delacroix et Cezanne, avec Manet, Seurat et Gauguin, on suivra les mutations auxquelles donne lieu le rapport entre l'oeil et le Cerveau avec la denaturalisation et la cerebralisation de l'oeil engage dans l'hallucination vraie du monde en son devenir-moderne. Porteur d'un nouveau regime de visibilite qui deso...
« Toi, le voyageur virtuel, sois assuré que l’aventure te prendra aux tripes et ne te lâchera pas avant que tu aies vécu l’existence de Bastyan, notre Capitanh du Mad One, expert en exploration spatiale, et de Mélianh, le Commodore des peuples de Reevanh, Homme-mémoire et Grand Prêtre de Rehonnael des tribus de la Vallée des Pas Perdus et du massif forestier d’Amhgart. À leurs côtés, et sous le joug de l’entité mystique qui se tapit dans les antres et les eaux de ce bout de planète, tu découvriras les arcanes de ce monde et les raisons qui les ont amenés à se rencontrer et à vivre cette relation unique qui les transcendera. Je ne t’en révèle pas davantage, il te ...
Bataille’s first novel, published under the pseudonym ‘Lord Auch’, is still his most notorious work. In this explicit pornographic fantasy, the young male narrator and his lovers Simone and Marcelle embark on a sexual quest involving sadism, torture, orgies, madness and defilement, culminating in a final act of transgression. Shocking and sacreligious, Story of the Eye is the fullest expression of Bataille’s obsession with the closeness of sex, violence and death. Yet it is also hallucinogenic in its power, and is one of the erotic classics of the twentieth century.
Etrange, bizarre, décalé, à contre-courant... les qualificatifs abondent pour désigner le cinéma de Lynch, et plus particulièrement cet objet singulier, réfractaire à une seule interprétation qu’est Mulholland Drive, oeuvre tout autant fascinante que dérangeante, échappant à la logique du spectateur et à sa capacité à ordonner l’action. Pour expliquer cette nature, quelle hypothèse soulever ? Quelle voie interprétative suivre ? Pour Julien Achemchame, il s’agit avant tout d’appréhender Mulholland Drive comme récit portant essentiellement sur le cinéma, sur la spectature, sur le fait de regarder et de recevoir un film. De là, une double approche de cet ovni ciném...
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