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Inside a Pearl
A literary treat: a memoir of Edmund White's years among the cultural and intellectual elite of 1980s Paris
Someone
Imagine trying to tell someone something about yourself and your desires for which there are no words. What if the mere attempt at expression was bound to misfire, to efface the truth of that ineluctable something? In Someone, Michael Lucey considers characters from twentieth-century French literary texts whose sexual forms prove difficult to conceptualize or represent. The characters expressing these “misfit” sexualities gravitate towards same-sex encounters. Yet they differ in subtle but crucial ways from mainstream gay or lesbian identities—whether because of a discordance between gender identity and sexuality, practices specific to a certain place and time, or the fleetingness or non-exclusivity of desire. Investigating works by Simone de Beauvoir, Colette, Jean Genet, and others, Lucey probes both the range of same-sex sexual forms in twentieth-century France and the innovative literary language authors have used to explore these evanescent forms. As a portrait of fragile sexualities that involve awkward and delicate maneuvers and modes of articulation, Someone reveals just how messy the ways in which we experience and perceive sexuality remain, even to ourselves.
Queer Sexualities in French and Francophone Literature and Film
The steady development of queer theory over the last two decades has provided useful analytical tools and the will to dismiss the watchdog of heteronormativity. Modes of reading have evolved, as this volume of FLS amply attests. Following Bill Edmiston’s introduction to the volume — a concise and informative history of queer theory — the fifteen articles reveal, not surprisingly, significant diversity. One deals with queerness in the context of medieval writing where allegorical and euphemistic expression were understood to be irreconcilable. Another treats translations in Early Modern France of an Ovidian fable that had an inconvenient lesbian dimension. Rousseau’s fixation on his b...
Et tu verras ta vie autrement...
La psychologie, science humaine entre toutes les sciences humaines, ne fait pas de détours : avec elle, il s’agit de décrypter ce qui nous meut et génère nos comportements, quand bien même nous serions incapables de les comprendre. Quel projet ! La psychologie, c’est la vie ! Elle offre des réponses à nos « Pourquoi ? » : Pourquoi ai-je des difficultés avec mon enfant ? Pourquoi mon père est-il distant ? Pourquoi vivons-nous aussi vite ?... Et elle inspire aussi des pistes de « Comment ? » : Comment prendre ma place au travail ? Comment aimer ? Comment me libérer de ce qui m’entrave ? Dans Et tu verras ta vie autrement..., Pascale Senk propose de poser un regard psy sur l...
Raskar Kapac - L'anthologie II
Les premières années furent celles des horizons lointains. Rappelez-vous : Raskar Kapac, gazette artistique et inflammable, était partie sillonner les espaces les plus inaccessibles. Entre 2016 et 2017, elle est allée s'exiler sur l'île engloutie de Mû aux côtés de Corto Maltese, elle est revenue d'entre les morts en suivant les pas sanglants de Guillaumet dans les Andes, elle a traqué avec Henry de Monfreid les peuplades perdues du Yémen et de l'Ethiopie...Les deux années qui suivirent - réunies intégralement dans cette seconde Anthologie -, furent pour Raskar celles des marges. Ce fut l'époque où la momie ne fréquenta que les damnés, les caraques et les inadaptés. De Fell...
Livres hebdo
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Proust dixit ?
Whether Proust's research can be classified as autofiction is subject to debate. What is not debatable is its glorification as the founding of autofictive writing. Many authors praise Marcel Proust as a revolutionary, exalting him as a quintessential literate, if not even a patron saint of this controversially discussed genre. The present study examines Proust's reception as exemplified by three preeminent writers of autofiction in France, Spain and Italy. The Proustian reminiscences span an ambivalent adoption of metaphors relating to memory and death in Doubrovsky's postmodern autofiction, extending through the fantastic rewriting of Combray and the Temps retrouvé by Carmen Martín Gaite up to the ironic revision of the Albertine figure and Proust's epiphany in Walter Sitis hyper-realistic autofiction.
French Post-modern Masculinities
As traditional notions of masculinity have been put into question, there have been representational reactions to and articulations of changing masculinities in post-modern culture. Certain contemporary French cultural productions are illustrative of these changing masculinities and this book offers the first comprehensive examination of these manifestations. Acclaimed critic Lawrence Schehr uses analysis of AIDS narratives, mainstream films, popular novels, more mainstream novels, a graphic novel, and rightist polemics to explore the changing meaning of masculinity in French society. French Postmodern Masculinities will appeal to a broad range of researchers and postgraduate students working in French cultural studies, cinema, and twentieth- and twenty-first-century French literature.
Le Polar pour les Nuls, grand format
Un panorama passionnant de l'histoire du polar, de Edgar Allan Poe à Stephen King, en passant par Agatha Christie et Stieg Larson. Le Polar pour les Nuls vous invite à un voyage dans le monde tout à la fois captivant et effrayant du roman noir. On y découvrira les multiples formes du genre : roman noir, roman policier, roman d'angoisse, suspense psychologique, techno-thriller, thriller, mais aussi les adaptations cinématographiques et télévisées des grands classiques. Les auteures nous livreront par ailleurs leurs coups de coeur et dénicheront pour nous les perles du genre... Frissons garantis !
Ma vie et autres trahisons
« Il m'est pénible de l'avouer, mais je suis un pauvre type. Je n'ai pas le souvenir de l'avoir toujours été. Cette foutue tendance à embellir le passé. Mais c'est vrai, il est arrivé, parfois que ma vie tienne ses promesses qui étaient de ressembler à Hollywood. Et puis, petit à petit, les étoiles ont disparu de ma galaxie et je me suis retrouvé seul dans ce café parisien, face à l'église Saint-Sulpice, avec un stylo feutre et une feuille de papier. Un thé sur une table en fornica et quelques biscuits. Ce n'est pas rien, me direz-vous. Et vouc ajouterez : surtout ne me raconter pas votre vie. Cela tombe bien, je n'en avais pas l'intention. » R.J.
