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The End of the CBC? is about three overlapping crises: the crisis that has enveloped the CBC, the crisis of news, and the crisis of democracy. They are all the result to some degree of the vast changes that have overtaken and consumed the media world in the last ten to fifteen years. The emergence of platforms such as Google, Facebook, Twitter, and Netflix, the hyper-targeting of individual users through data analytics, the development of narrow online identity communities, and the rise of an attention economy that makes it more and more difficult for any but the most powerful media organizations to be noticed, have changed the media landscape in dramatic ways. The effects on the CBC and on other Canadian media organizations have been shattering. Describing the failure of successive governments to address problems faced by the public broadcaster, this book explains how the CBC lost its place in sports, drama, and entertainment. Taras and Waddell propose a way forward for the CBC - one in which the corporation concentrates its resources on news and current affairs and re-establishes a reputation for depth and quality.
The digital world has impacted the way Canadians socialize and interact with others, teach and learn, conduct business, experience culture, fight political battles, and acquire knowledge. The traditional forms of media, newspapers, radio, and television are being replaced by digital media which is fast, sporadic, and sometimes inaccurate. As a result, Canada is experiencing a number of overlapping crises simultaneously: a crisis in traditional media, a crisis in public broadcasting, a crisis in news and journalism, and a crisis in citizen engagement.
Offrant un regard critique ancré dans une approche sociale et culturelle de la pratique des relations publiques, cet ouvrage tente de mieux comprendre les dynamiques qui sont constitutives de la communication publique contemporaine. Le phénomène des relations publiques : regard critique sur la pratique veut offrir aux étudiants et aux étudiantes ainsi qu’aux spécialistes de la communication, mais aussi à l'ensemble du public, des pistes pour mieux comprendre le rôle des relations publiques dans notre société.
S'informer, se divertir, créer, échanger, commenter, partager : aujourd'hui, ces gestes s'effectuent avec les médias sociaux. Facebook, Twitter, LinkedIn, Wikipedia, YouTube, Instagram... tous ces dispositifs (et bien d'autres encore !) permettent aux usagers d'intervenir directement dans la production et la diffusion de contenus médiatiques, à titre professionnel ou personnel. Mais quel est le poids réel des médias sociaux dans le tissu relationnel et, plus l.
La télévision de Radio-Canada aura soixante ans en septembre 2012. L’occasion est belle de chercher à mieux comprendre la place prise par l’institution dans l’évolution de la société. Par son apport à l’affermissement de la langue, à la vie artistique et culturelle et à la construction de l’identité, tout autant que par son rôle particulier en information, Radio-Canada a contribué de bien des manières à l’évolution de la conscience politique au Québec. Mais ses défaillances sont aussi nombreuses. Quel bilan peut-on faire de son action? Quels en sont les traits les plus positifs et les aspects négatifs? Quelles influences sont encore possibles dans un environnement télévisuel de plus en plus fragmenté et concurrentiel? Les textes de cet ouvrage permettent de dépasser un manichéisme simpliste et imposent une réflexion plus large sur ces questions à multiples facettes.
Dans un contexte professionnel bouleversé par les avancées technologiques – médias socionumériques en tête –, la surabondance d’informations, le triomphe du populisme et l’ère des «faits alternatifs», l’accentuation des inégalités, les relationnistes ont aujourd’hui à affronter de nombreux défis. C’est pourquoi, huit ans après la parution de la quatrième édition du livre phare de Danielle Maisonneuve, Les relations publiques dans une société en mouvance, cet ouvrage fait le point sur l’exercice de la profession de relationniste – autant en ce qui a trait aux théories qui constituent ses fondements et aux enjeux auxquels elle fait face qu’aux pratiques actualisées qu’elle commande.
Dans une perspective interdisciplinaire, cette publication interroge le rôle des innovations techniques en information et communication.
Le recours aux relations publiques peut-il mener à une plus grande participation démocratique, à des changements politiques profonds et durables? Est-il possible de concilier l'action politique se déroulant dans la rue et les stratégies d'interventions menées dans l'espace médiatique? À partir de l'expérience des mouvements étudiants québécois de 2005 et de 2012 et à la lumière des travaux des philosophes Nancy Fraser et Axel Honneth, I'auteure porte un regard critique sur les stratégies de communication déployées par les groupes de revendications. Sa conclusion se lit comme un défi tourné vers l'avenir. Plutôt que de chercher à évacuer les tensions par un refus catégorique de recourir aux relations publiques ou par la reproduction des modèles professionnalisés, les activistes pourront orienter leurs actions en prenant acte du dilemme et en exerçant leur réflexivité, guidée par une culture de démocratie participative.
politique québécoise un mouvement étudiant combatif, déterminé et uni. Or le Printemps érable, loin d’être un phénomène de génération spontanée, est le fruit d’une longue histoire dont les racines plongent jusqu’aux premiers jours de la Révolution tranquille. Au croisement des influences des partis politiques, des groupes révolutionnaires et des syndicats, depuis plus d’un demi-siècle, le milieu étudiant a su à la fois faire entendre ses revendications, et développer ses propres stratégies et pratiques. Cet ouvrage raconte les multiples élans et conflits qui ont marqué le mouvement: les bras de fer engagés avec les autorités, mais aussi les rapports de force et tensions entre et au sein des associations nationales. Puisant dans de nombreuses archives et nourri d’une vingtaine d’entrevues, l’auteur nous fait découvrir l’étoffe de l’un des plus redoutables mouvements sociaux d’Amérique du Nord.
Le capital symbolique d’une organisation peut être profondément marqué, voire déterminé, par les médias sociaux. Jamais la réputation n’a été plus cruciale que dans nos sociétés contemporaines. Cet ouvrage réunit les réflexions d’enseignants-chercheurs nord-américains et européens issus de disciplines variées et celles de professionnels, d’experts et de praticiens. Offrant un regard pluriel sur les phénomènes d’e-réputation et d’influence, le livre aborde, autant par des articles théoriques que par des études de cas, la construction et la définition des dynamiques d’e-réputation et d’influence, les cadres juridiques, les pratiques et enjeux qui y sont liés ainsi que les communautés virtuelles et l’innovation.