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From a cluster of interconnected HTML pages to online service platforms, websites are constantly changing in form and function. These transformations have led, on the one hand, to human and social sciences renewing or inventing analytical methodologies; and on the other hand, to a reconsideration of the practices of non-specialists and digital professionals. The Web factory is equally included on the agenda of communication training, according to an alternative approach that is complementary to the one that has been implemented for computer scientists. From these two perspectives and drawing upon several case studies, Analyzing Websites presents epistemological and methodological contributions from researchers in Information and Communication Sciences exploring websites as sociotechnical, semi-discursive and communicational devices. This study covers website design as well as their integration into the digital strategies of organizations in the public, associative and private sectors.
This book investigates the nature of aesthetic experience and aesthetic objects. Written by leading philosophers, psychologists, literary scholars and semioticians, the book addresses two intertwined issues. The first is related to the phenomenology of aesthetic experience: The understanding of how human beings respond to artworks, how we process linguistic or visual information, and what properties in artworks trigger aesthetic experiences. The examination of the properties of aesthetic experience reveals essential aspects of our perceptual, cognitive, and semiotic capacities. The second issue studied in this volume is related to the ontology of the work of art: Written or visual artwork...
Videomapping with its use of digital images is an audiovisual format that has gained traction with the creative industries. It consists of projecting images onto diverse surfaces, according to their geometric characteristics. It is also synonymous with spatial augmented reality, projection mapping and spatial correspondence. Image Beyond the Screen lays the foundations for a field of interdisciplinary study, encompassing the audiovisual, humanities, and digital creation and technologies. It brings together contributions from researchers, and testimonials from some of the creators, technicians and organizers who now make up the many-faceted community of videomapping. Live entertainment, museum, urban or event planning, cultural heritage, marketing, industry and the medical field are just a few examples of the applications of this media.
Sous l’influence de la mondialisation, les contacts entre cultures et l’hybridation culturelle ne cessent de croître, projetant l’interculturalité au centre de l’espace public. Alors que certaines approches exclusivement focalisées sur les différences culturelles décrivent comment se comporter auprès de groupes étrangers, Communication et interculturalité analyse la manière dont les individus s’adaptent en tenant compte des différentes cultures et identités (professionnelles, organisationnelles, ethniques, régionales, familiales, etc...) qui constituent des repères sémiotiques et symboliques pouvant être mis au service du sens. Il explore ainsi la relation entre cultures, identités et communication interpersonnelle pour comprendre les dynamiques de construction de sens qui émergent dans une interaction réelle. Destiné à un public scientifique mais également à toute personne qui s’interroge sur les relations entre cultures et communication, cet ouvrage développe une approche sémiopragmatique novatrice de la communication interculturelle, inscrite dans le champ naissant de la culture-interaction.
Cet ouvrage propose de décrypter le rôle des sciences humaines dans l’art contemporain au fil de son développement et de son institutionnalisation en France. Cette approche communicationnelle s’intéresse aussi bien aux pratiques qu’aux discours, aux dispositifs (comme l’exposition) qu’aux représentations (en particulier des sciences). Comment observer les sciences humaines dans le champ artistique, alors que leur réception, leurs réappropriations, ne sont pas visibles de manière immédiate ? Comment rendre compte d’un usage collectif de ces savoirs et, donc, les situer dans des règles et normes partagées par les acteurs de l’art contemporain ? Comment repérer et analyser les manières différenciées d’y recourir dans ce cadre commun ? Par l’observation et l’examen détaillé des centres d’art et des expositions d’art contemporain, Les sciences humaines dans le centre d’art vise à éclairer la circulation sociale des savoirs et les manières de l’étudier.
Théorie de la communication et éthique relationnelle montre, à travers des études de cas, que les discours sur la communication sont marqués d'une structure relationnelle qui prend son origine dans la perception de l'espace, dans le langage, dans l'esprit, mais aussi dans les formes graphiques et mises en page textuelles en circulation dans la société. Cet ouvrage met cette matrice relationnelle à l'épreuve, notamment, de la pensée systémique, de la complexité en science, du dialogisme en littérature, du traitement journalistique des conflits, de l'éthique managériale, des méthodes d'apprentissage de la communication, de campagnes de publicité, d'oeuvres d'artistes, de scénographies, de communications par internet.
Consacré à la question du sens en émergence, cet ouvrage collectif réunit des réflexions d'horizons disciplinaires et épistémologiques variés sur les dispositifs et les environnements. Variés mais cohérents et surtout féconds. Que l'on soit sémioticien, géographe, biologiste, économiste, philosophe, anthropologue ou spécialiste des Sciences de l'Information et de la Communication, il s'agit de mobiliser le contexte, la situation, l'environnement, le dispositif, le cadre spatio-temporel ..., pour penser pleinement les interrelations constitutives du sens en tant que tenir–ensemble, pour questionner le maillage, le tissu, le tissage, entre " tout ce qui est " en co-présence e...
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Nous vivons à une époque où règne l’incertitude identitaire. Même la question « qui suis-je? » ou « qui sommes-nous? » ne semble plus légitime, dans la mesure où le verbe être ne parait plus pouvoir capter le « devenir » dont nous nous sentons tributaires : « que devenons-nous? », voilà la vraie question qui ne cesse de nous hanter. Ce devenir s’impose comme une métamorphose, où l’on se mue progressivement en un autre, mais il n’en reste pas moins ancré dans une histoire où apparait la genèse de soi, qu’une mémoire plus ou moins trouble nous révèle aussi comme un autre. Il n’y a pas de présence à soi qui permette de saisir dans l’immédiat l’essence...