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This volume will appeal to anyone interested in knowing more about the fundamental building blocks of language: words. It brings together the fields of linguistics, neuroscience, psycholinguistics, speech-language pathology, and language education to present multifaceted perspectives on the topic of vocabulary. The theoretical and empirical contributions included consider some of the key questions facing the field, such as What is the mental lexicon? What constitutes a word? What are new and novel approaches to measuring and researching vocabulary? and What is the best way to teach vocabulary? This book will be useful to graduate students and scholars in the fields of theoretical linguistics, psycholinguistics, applied linguistics, adult and child language acquisition, and modern languages. In addition, it will appeal to language educators at various institutions, immigrant service specialists, school board officials, and study abroad consultants.
This annual French XX Bibliography provides the most complete listing available of books, articles, and book reviews concerned with French literature since 1885. Unique in its scope, thoroughness, and reliability of information, it has become an essential reference source in the study of modern French literature and culture. The bibliography is divided into three major divisions: general studies, author subjects (arranged alphabetically), and cinema. Number 59 in the series contains 12,703 entries. William J. Thompson is Associate Professor of French and Undergraduate and Interdisciplinary Programs in the College of Arts and Sciences at the University of Memphis.
Les contributeurs sʹinterrogent sur les finalités de lʹécole et les buts de la formation disciplinaire en français, en France, en Suisse romande, au Québec, en Belgique et au Liban, de la maternelle à la formation continue des enseignants.--[Memento].
L'ouvrage fait le point théorique sur la prise en compte des différents contextes socioculturels auxquels sont soumis l'enseignement et l'apprentissage du français. Après une approche épistémologique ou historique permettant de cerner la définition du socioculturel, l'ouvrage interroge le rôle que jouent les contextes socioculturels sur la construction des contenus d'enseignement et leur influence sur les pratiques de classe. Les contributeurs sont des spécialistes reconnus dans plusieurs champs de la recherche sur l'enseignement et l'apprentissage, dont la didactique du français. Cela fait de l'ouvrage une référence sur la question.
Quand ont disparu les derniers témoins des faits dont la jeunesse devrait garder le souvenir pour n’être pas condamnée à refaire les erreurs du passé, quand la mise en mots de ces faits risque le confinement dans les écrits d’historiens, sur quoi peut-on tabler pour faire connaitre aux enfants et aux adolescents ces évènements qui ne peuvent pas tomber dans l’oubli sous peine de compromettre l’avenir de nos fragiles démocraties ? On peut tabler sur les fictions, qui donnent à connaitre le passé par l’intermédiaire de personnages pris dans les tourmentes de l’Histoire. Ce volume d’actes du colloque de Liège (2-4 mai 2013) réunit des études d’historiens et de didacticiens du français en vue de créer des supports d’apprentissage qui relèvent du devoir de mémoire, c’est-à-dire, de ce dont les enfants et les adolescents d’aujourd’hui, les adultes de demain doivent se souvenir pour s’épanouir en humanité.
S'inscrivant dans la continuité de publications précédentes, cet ouvrage réunit onze articles qui interrogent la progression de l’enseignement de la lecture au long de la scolarité obligatoire dans les quatre pays francophones (Belgique, France, Québec, Suisse). Plusieurs de ces articles portent sur différents cycles d’enseignement, dont ils soulignent les spécificités et les continuités. D’autres abordent la question de la progression en confrontant textes institutionnels et pratiques effectives, ou encore en comparant différents programmes nationaux. Une partie importante des articles, enfin, traite de situations d’apprentissage effectives ou de performances d’élèves...
Depuis une quarantaine d’années, les didactiques disciplinaires émergent et se développent avec une certaine indépendance. Dans quelle mesure, au-delà de leurs diversités, peut-on parler d’un champ scientifique dédié à la compréhension de la transmission et de la diffusion des savoirs dans la société ? Quels sont les possibles, les obstacles, les contradictions de la construction d’une didactique à partir des didactiques ? L’ouvrage s’ouvre sur deux panoramas qui présentent, du point de vue du rapport entre didactiques disciplinaires et didactique comme champ académique, la recherche en Allemagne et en France. Les dix contributions qui suivent apportent ensuite quelq...
Apprendre à écrire, écrire pour apprendre : l'« écrire » comme processus est au centre du numéro, du CP à l’université. Les articles s’intéressent aux apprentissages multiples corrélés à l’écriture, et aux démarches d’enseignement. Dans tous les cas, il s’agit de prendre en compte la complexité du processus et d’en assumer tensions et paradoxes.
Crèches, haltes-garderies, aujourd'hui multi-accueil... Mais d'où nous viennent les lieux d'accueil de la petite enfance ? Quand, comment, pourquoi, sont nés les premiers établissements de garde ? Ce sont des hommes qui, au milieu du XIXe, entrevoient leur nécessité pour répondre à la problématique sociale construite autour de l'éducation du jeune enfant des classes dites indigentes. Le 14 novembre 1844 est créée la première crèche, crèche de Chaillot, à Paris, sous l'impulsion de Firmin Marbeau. Crèche, par analogie avec la crèche de Bethléem. Voilà qui ouvre bien des indices sur le curriculum initial des crèches. A partir de la constitution d'un corpus, l'ouvrage recon...
Qu’est-ce qui fait la particularité de la recherche collaborative au sein de la famille des méthodes qualitatives en sciences humaines et sociales? Certes, elle se fonde sur un principe central qui est celui de la collaboration entre des chercheurs et d’autres acteurs de la scène sociale. Mais « collaborer » doit s’entendre dans quel sens et pour quelles finalités? Pourquoi ne dirait-on pas coopérer ou participer? En quoi peut-on différencier la recherche collaborative d’autres méthodes « impliquantes » telles la recherche-action ou l’observation participante? Et si collaborer nécessite pour le chercheur de s’engager un peu plus? Mais alors, comment peut-il encore prétendre participer à une activité scientifique? N’est-il pas alors voué à être l’instrument d’intentions qui ne sont pas les siennes? Sinon, quel est alors son statut et celui des autres collaborateurs? Ce sont toutes ces questions qui sont au centre de cet ouvrage, non pas en y apportant des réponses a priori dans un manuel, mais en renvoyant à la recherche collaborative en acte, telle qu’elle s’est pratiquée dans divers endroits.