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Le livre de la chaîne est un assemblage de textes manuscrits consignant les chartes, libertés, privilèges et franchises de la ville de Grenoble, de nombreux documents administratifs (copies d'actes dauphinois ou royaux, règlements municipaux...) relatifs majoritairement à cette même ville, mais aussi en partie à la vallée du Grésivaudan. Ces textes recouvrent une période allant du Moyen-Age (1242), alors que le Dauphiné était une principauté du Saint Empire Romain Germanique à la Renaissance (1556). Les documents sont assemblés dans une reliure en cuir et fixée au mur dans la salle du conseil de la Tour de l'Isle par une chaîne de fer, afin d'en prévenir le vol. On trouvera dans ce document réalisé par des adhérents du Centre Généalogique du Dauphiné la transcription intégrale de toutes les pages rédigées en français (90) avec, en regard, le document original.
David, un enfant de neuf ans en visite chez son grand-père à Florange va tenter de découvrir l'histoire et le passé de ce dernier. Ancien ouvrier des Haut-fourneaux d'une célèbre aciérie, il va dévoiler au jeune garçon une véritable tragédie industrielle et humaine pour laquelle il se sera battu des années durant.
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Cet ouvrage est une réédition numérique d’un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d’origine.
A history of the brave American men who flew and were shot down in Europe during World War II, but were able to escape imprisonment due to the efforts of those who aided them. A source of information on the European underground resistance groups of World War II. The book contains rare photographs, maps, and war documents.
This book explores national attitudes to remembering colonialism in Britain and France. By comparing these two former colonial powers, the author tells two distinct stories about coming to terms with the legacies of colonialism, the role of silence and the breaking thereof. Examining memory through the stories of people who incited public conversation on colonialism: activists; politicians; journalists; and professional historians, this book argues that these actors mobilised the colonial past to make sense of national identity, race and belonging in the present. In focusing on memory as an ongoing, politicised public debate, the book examines the afterlife of colonial history as an element of political and social discourse that depends on actors’ goals and priorities. A thought-provoking and powerful read that explores the divisive legacies of colonialism through oral history, this book will appeal to those researching imperialism, collective memory and cultural identity.
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