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In Dark Laughter, Juan F. Egea provides a remarkable in-depth analysis of the dark comedy film genre in Spain, as well as a provocative critical engagement with the idea of national cinema, the visual dimension of cultural specificity, and the ethics of dark humor. Egea begins his analysis with General Franco's dictatorship in the 1960s—a regime that opened the country to new economic forces while maintaining its repressive nature—exploring key works by Luis García Berlanga, Marco Ferreri, Fernando Fernán-Gómez, and Luis Buñuel. Dark Laughter then moves to the first films of Pedro Almodóvar in the early 1980s during the Spanish political transition to democracy before examining Alex de la Iglesia and the new dark comedies of the 1990s. Analyzing this younger generation of filmmakers, Egea traces dark comedy to Spain's displays of ultramodernity such as the Universal Exposition in Seville and the Barcelona Olympic Games. At its core, Dark Laughter is a substantial inquiry into the epistemology of comedy, the intricacies of visual modernity, and the relationship between cinema and a wider framework of representational practices.
Le présent ouvrage est le fruit d’une réflexion qui a nourri un séminaire de l’équipe des hispanistes (GRIAS) du Centre d’Etudes sur les Littératures Etrangères et Comparées, EA 3069, et d’un colloque international (Espagne,
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The Spanish novel in a turbulent century.
Providing an overview of Spanish and Portuguese cinema, this title contains 24 essays, each on a separate seminal film from the region, profiling work from the likes of Pedro Almodıvar and João Cesar Monteiro.
" Lorsque enfin me parvint le livre achevé, j'éprouvai un soulagement, mais surtout une grande joie : celle d'assister à une lecture pleine et véritable au sens le plus profond du mot, une lecture qui pourra être une carte et un guide pour ceux qui approcheront désormais mon travail et qui m'a servi à découvrir des choses que je n'avais jamais remarquées. " (Extrait de la préface).
Rassemblées sous un titre emprunté à l'auteur des Nouvelles exemplaires, les cinquante-trois contributions de ces Mélanges offerts à jean Canavaggio portent sur différents aspects de la littérature, du théâtre et de la civilisation de l'Espagne du Siècle d'or, sans oublier leur postérité et l'écho qu'ils ont rencontré jusqu'à nos jours. Dans le vaste domaine ainsi délimité, on retrouve naturellement les principaux axes du champ d'études de l'hispaniste à qui l'ouvrage est dédié : la comedia nueva et l'œuvre de Cervantès. L'unité du livre ne repose pas seulement sur ces nombreux témoignages d'amitié exprimés par des collègues espagnols, allemands, américains, brit...
Contributions sur les représentations de la guerre civile espagnole dans l'historiographie, la littérature, le cinéma, la presse et l'enseignement depuis la mort de Franco, en Espagne et en Europe.