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Une pétillante quadra devenue veuve avant l’heure se voit confier les rênes de l’empire de champagne Van Styn. Un jeune étudiant américain à l’ambition débordanteet au charme fou rêve d’y faire un stage. Anouk laisse sa chance à Andrew, dont la soif d’apprentissageva se révéler troublante... Entre bulles de champagne et déplacements professionnelsde rêve commence alors une initiation enivrante aux plaisirsà la française, mais jusqu’où Anouk osera-t-elle aller ?
Une pétillante quadra devenue veuve avant l’heure se voit con fier les rênes de l’empire de champagne Van Styn. Un jeune étudiant américain à l’ambition débordante et au charme fou rêve d’y faire un stage. Anouk laisse sa chance à Andrew, dont la soif d’apprentissage va se révéler troublante... Entre bulles de champagne et déplacements professionnels de rêve commence alors une initiation enivrante aux plaisirs à la française, mais jusqu’où Anouk osera-t-elle aller ?
Poet and novelist Charles Bukowski described promiscuity as "feast and feast and feast." The promiscuous person is having fun, getting away with it, and showing no signs of stopping. More often, though, promiscuity has been seen as demonic, as the sign of an uncivilised race, or as a symptom of mental disorder. Promiscuity in Western Literature capitalises on the fact that literature gives us deep and varied resources for reflecting on this controversial aspect of human behaviour. Drawing on authors from Homer to Margaret Atwood, it explores recurrent ideas and scenarios: Why does the literature of promiscuity evoke ideas of the animal? Why does it so often turn upon the image of the "excessive" woman? How and why does promiscuity feature in comic writing? How does the emergence of the modern city change representations of promiscuity? And, in the present day, what impact have ecological concerns had on the way writers depict promiscuity?
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Le cinéma français doit beaucoup à Georges Franju. Cofondateur de la Cinémathèque Française en 1937 avec Henri Langlois ; devenu après-guerre avec des films comme le Sang des Bêtes et Hôtel des Invalides, l'un des maîtres du "court-métrage" - il a de surcroît, depuis dix ans, signé quelques-uns des films à la fois les plus classiques et les moins académiques de notre production, de « La tête contre les murs » à « Thomas l’imposteur » en passant par « Thérèse Desqueyroux ».
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