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The Girl Who Reads on the Métro
For fans of The Little Paris Bookshop and The Elegance of the Hedgehog, The Girl Who Reads on the Métro is the French phenomenon by Christine Féret-Fleury, ready to charm book-lovers everywhere . . . When Juliette takes the métro to her loathed office job each morning, her only escape is in books – she avidly reads on her journey and imagines what her fellow commuters’ choices might say about them. Then she meets Soliman – the mysterious owner of the most enchanting bookshop Juliette has ever seen – and things will never be the same again. For Soliman believes in the power of books to change the course of a life, and he’s about to change Juliette’s forever . . .
Umbrella
"A brother is as easily forgotten as an umbrella."--James Joyce, "Ulysses" 1918 Audrey Death--feminist, socialist and munitions worker at Woolwich Arsenal--falls ill with encephalitis lethargica as the epidemic rages across Europe, killing a third of its victims and condemning a further third to living death. 1971 Under the curious eyes of psychiatrist Dr. Zack Busner, assumed mental patient Audrey Death lies supine in bed above a spring grotto that she has made every one of the forty-nine years she has resided in Friern Mental Hospital. 2010 Now retired, Dr. Busner travels waywardly across North London in search of the truth about that tumultuous summer when he awoke the post-encephalitic patients under his care using a new and powerful drug. Weaving together a dense tapestry of consciousness and lived life across an entire century, in his latest and most ambitious novel, Will Self takes up the challenge of Modernism and reveals how it--and it alone--can unravel new and unsettling truths about our world and how it came to be.
The Waiter
“As if The Remains of the Day had been written by Kingsley Amis, The Waiter is…one of the most purely entertaining novels I’ve read in years. This book is a meal you won’t want to finish.” —J. Ryan Stradal, New York Times bestselling author of Kitchens of the Great Midwest In the tradition of the modern classics The Remains of the Day and A Gentleman in Moscow comes The Waiter, in which the finely tuned balance of a timeworn European restaurant is irrevocably upset by an unexpected guest. The Hills dates from a time when pigs were pigs and swine were swine, the Maître D’ likes to say—in other words from the mid-1800s. Every day begins with the head waiter putting on his jack...
The River Between Us
A forgotten house and a secret hidden for a century... 'Wonderfully evocative’ Judy Finnigan 'An absolute delight!' Hazel Gaynor ‘Wonderful escapism’ Tracy Rees ’A lovely story' Erica James ‘Gloriously rich’ Rachel Hore ‘Sublime storytelling’ Cathy Bramley ‘Emotional’ Kate Ryder
A garota que lê no metrô
Juliette é uma jovem e solitária parisiense que leva uma vida metódica - todas as terças vai ao supermercado e às sextas, ao cinema. A garota que lê no metrô As viagens de metrô para o trabalho, típicas da rotina, possibilitam que Juliette observe sempre os mesmos passageiros e os livros que cada um lê. Todos têm suas particularidades, como a idosa que folheia um livro italiano de culinária e sorri diante de algumas receitas ou a garota que lê romances e sempre derrama minúsculas lágrimas quando chega à página 247. "Por que a página 247?", pergunta-se Juliette. Ela observa todos com curiosidade e ternura, como se as leituras e paixões alheias pudessem colorir sua vida tão monótona e previsível. Certo dia, a jovem decide romper com a rotina e usufruir o prazer de percorrer as ruas a pé, observando o formato das nuvens, com o olhar em busca do novo. E esse desvio mudará completamente a sua vida, graças ao iraniano Soliman e sua pequenina filha Zaïde. Todas as citações literárias de A garota que lê no metrô são referidas no fim da obra. Assim, o leitor poderá aprofundar-se neste rico universo narrativo.
Au bois dormant
On l'appelle le Rouet. En référence au "rouet" sur la pointe duquel la Belle au Bois Dormant se pique le doigt dans le conte de Perrault. Car le Rouet est un tueur en série, un criminel qui traque ses victimes dès leur naissance, promettant à leurs parents qu'il leur dérobera la vie le jour de leur seizième anniversaire. Ariane aura seize ans dans quelques mois. Elle décide de s'enfuir plutôt que d'attendre cette mort annoncée. En chemin, elle rencontre Lara, une jeune fille qui lui ressemble comme une soeur. Mais un terrible accident emporte Lara. Elle aurait eu ses seize ans quelques jours plus tard. Dans la précipitation des évènements, on confond Ariane et Lara. Et si changer d'identité était la solution pour échapper au tueur ? Ariane décide de se faire passer pour la défunte et continue sa fuite. Mais le tueur est bien plus proche qu'elle ne le croit.
Dans le miroir
Ses mains coupées, tombées sur ses genoux, en un geste grotesque de prière, le sang jaillissant à jets irréguliers, ses yeux s'agrandiraient à n'en plus finir, sa bouche hurlerait des paroles noires, on en finirait enfin avec le silence, les voix douces et les pas glissés, avec les éloges et les parures, on pourrait déchirer les fleurs et mordre la terre, et refuser... Jeanne, Louise : deux petites filles liées par une enfance secrète et violente, depuis le jour où un vagabond a saccagé le palais qu'elles avaient bâti autour d'une carcasse de cheval, dans un terrain vague en lisière de Paris. De récit en récit, à voix alternées, le destin de ces deux femmes se dessine, se tresse, se déchire à la vie de tous les jours, à la vie rêvée, à l'implacable réalité. Un style extrêmement serré, dense, qui traduit une violence sourde et contenue, celle des sentiments de Jeanne et Louise.
L'école buissonnière
Sur le quai d’une gare de Sologne, Paul Caradec, onze ans, regarde le train s’éloigner, le cœur serré. Nous sommes dans les années 1920 et Paul vient d'être confié à une amie qui, tout comme ce pays sauvage d’étangs et de forêts, est pour lui une parfaite inconnue. Heureusement, Paul fait bientôt la connaissance de Totoche, un braconnier haut en couleurs. Peu à peu, l’homme et l’enfant s’apprivoisent, et le braconnier enseigne au petit Parisien tous les secrets de la forêt. Tous, sauf un... Adapté pour la jeunesse par Christine Féret-Fleury.
La vie sur catalogue
Moi aussi, je voudrais. Plus. Plus d’espace. Plus de vie. Plus de musique. Je vis dans une boîte. Toute petite. J’y ai amassé , comme les oiseaux, des brins de laines, des pollens, des pelotes de poils tassés, des pétales. Pour ne pas me heurter, à chaque instant, aux angles, aux murs. Pour ne pas y laisser ma peau. Tapissée. Douillette. Mais je veux plus. Plus de touches, pour le chant, pour la clarté . Plus de violence. Pour les fauves, dans le ventre de l’instrument, prêts à la curée. Plus de temps. Plus d’espace.
