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The essays in this volume all ask what it means for human beings to be embodied as desiring creatures—and perhaps still more piercingly, what it means for a philosopher to be embodied. In taking up this challenge via phenomenology, psychoanalysis, hermeneutics, and the philosophy of literature, the volume questions the orthodoxies not only of Western metaphysics but even of the phenomenological tradition itself. We miss much that has philosophical import when we exclude the somatic aspects of human life, and it is therefore the philosopher’s duty now to rediscover the meaning inherent in desire, emotion, and passion—without letting the biases of any tradition determine in advance the m...
For readers of Oliver Sacks and Being Mortal by Atul Gawande comes “a luminous ode to the ‘mysterious ways music... moves’ patients with such conditions as dementia and autism… Assured and lyrical, this impresses."—Publishers Weekly, STARRED Review A celebrated art therapist plays the cello for her patients—and offers a moving reflection on the extraordinary power of music to enrich our lives, all the way to the very end. When Claire Oppert plays the cello, miracles happen. Children with profound autism, patients in extreme pain and distress, even people on the threshold of death smile, cry, laugh, sing and dance. “When you play, I’m not sick anymore,” one man tells her. ...
Quels sont les entrecroisements possibles entre les concepts de diversité et de vulnérabilité. Leur usage combiné amorce-t-il les fondements d’un regard nouveau sur la pensée et les pratiques politiques et sociales ?
John Amos Hall est né à New Carlisle, Québec le 21 novembre 1826. Il était le fils de Daniel et de Rachael Hall de Port Daniel, Québec. Il s'est marié à Marceline Arsenault le 10 novembre 1856. Il y avait quatre enfants. John est mort à Tracadie, Nouveau-Brunswick le 5 août 1911. Les descendants habitent principalement au Québec et au Nouveau-Brunswick.
La 4e de couv. indique : « La naissance est douleur, la vieillesse est douleur, la maladie est douleur, le traumatisme est douleur... La prise en charge de la douleur ne peut pas se réduire à une lutte contre un symptôme. C'est toujours d'un homme douloureux dont il est question avec son histoire et sa culture. L'association de la clinique, de la philosophie et de la littérature permet ici de découvrir les nombreux phénomènes qui s'échangent, s'entrecroisent et s'influencent alors qu'une personne souffre et s'en plaint par une adresse toujours singulière. Entre une indifférence redoutée et une reconnaissance espérée, "Se plaindre de douleur" met à l'épreuve l'humanisation de la rencontre entre le plaignant et celui à qui la plainte est adressée. Comprendre ces phénomènes et les introduire dans sa pratique soignante, alliant ainsi les sciences humaines aux technosciences, revient à suivre un chemin audacieux sur lequel celui qui se plaignait de douleur manifestera sa gratitude."[Source : 4e de couv.]
Emmanuel Falque is one of the foremost philosophers working in the continental philosophy of religion today. This is the first English-language anthology to bring together extracts from Falque's major works, key essays and even some previously unpublished material. Spanning his entire career to date, The Emmanuel Falque Reader is organised thematically and showcases the vast array of Falque's interests, from his early work on medieval philosophy to his methodology, anthropology and Christian phenomenology. It also includes an Editor's Introduction, which situates Falque within phenomenology's so-called 'theological turn' and provides a comprehensive overview of his philosophy. Falque's thinking urges more careful consideration of human finitude, atheism in a secular age, and the interaction between philosophy and theology. Featuring a foreword by esteemed scholar Kevin Hart, this essential collection explores the new directions in which Falque is taking continental philosophy of religion.
À partir de la notion de descente aux enfers chez Balthasar, ce livre rend compte de la capacité de la théologie à penser les pratiques soignantes contemporaines et à élaborer une éthique de la descente et du relèvement des personnes vulnérables. Par la mise en œuvre d’une enquête et le déploiement d’une démarche analogique, l’auteur passe de la « descente aux enfers » aux expériences contemporaines de déréliction faites par des femmes et des hommes en soins palliatifs. Il révèle ainsi la portée anthropologique d’une parole croyante même pour ceux qui n’en partagent pas les convictions profondes. Cette réflexion est pertinente et unique jusqu’à présent dans la littérature.
L'auteur propose de dépasser l'opposition si totale entre les pro et anti euthanasie. Éviter la torture des souffrances ne doit plus être une affaire de réseaux et d'argent.
Trajectoires... Histoires entremêlées... Trajectoires croisées, celles des patients en fin de vie et des soignants qui en ont la charge au terme ultime de leur existence. Trajectoires mêlées, celles des étudiants en médecine et des médecins qui les forment aux soins palliatifs. Trajectoires complices, amitiés immuables. Trajectoires amoureuses aux prises avec la vie, la mort, le deuil, l’éphémère. Trajectoires brisées par la maladie, chemins de souffrance, errances des questionnements. Trajectoires réflexives de l’éthique à la philosophie qui se cherchent un cadre légal et juridique. Les situations cliniques présentées dans ce récit sont tirées d’histoires réelles. Néanmoins elles y apparaissent romancées, nuancées, enrichies ou simplifiées. Les noms des personnages sont tous fictifs.
Les textes rassemblés dans cet ouvrage abordent la mort, ses significations au fil du temps, ainsi que ses limites, tant physiques que métaphysiques. Que pouvons-nous encore dire de la mort au XXIe siècle ? Que nous dit le rapport des époques passées à la mort sur les liens que nous entretenons aujourd’hui avec elle ? Quel sens pouvons-nous attribuer à la souffrance qu’elle fait naître ? Que nous est-il permis d’espérer et comment nous est-il possible de l’apprivoiser, lorsqu’elle surgit concrètement dans nos vies ? Nous vivons dans une société où la réalité de la mort est désymbolisée et niée, pour ne pas dire dénuée de sens face aux mœurs et aux politiques actuelles, centrées autour du désir de repousser toujours plus loin les limites de la finitude humaine. Réfléchir aujourd’hui au sens à donner à la mort, en utilisant les outils que nous fournissent différentes sciences, nous permet paradoxalement de vivre plus pleinement notre vie.