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Sauver le climat pour mieux sauver la planète. Belle ambition dont la réalisation semble encore empêchée par un coupable unique, responsable de l'effet de serre et du réchauffement climatique : le gaz carbonique. En effet, que ce soit dans le débat actuel sur la « transition écologique » et dans l'ensemble des projets soumis par les autorités européennes ou dans les propositions de l'acte III de la décentralisation, il est le grand coupable désigné à la vindicte et condamné par une taxation aveugle. Et si ce coupable était indispensable à la vie sur terre ? Et si la taxation systématique du « carbone » » était une erreur funeste et que d'autres approches étaient possibles? Et si nous avions besoin de plus de science pour approfondir la question sur des bases véritablement solides ? À partir d'un point de vue strictement scientifique qui n'esquive pourtant pas le débat, François Gervais s'oppose à la conception univoque et réductrice qui fait du gaz carbonique le responsable de tous les maux et interdit finalement de repenser à la fois les bases d'une solidarité Nord-Sud plus juste et une politique énergétique ambitieuse.
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The House That Sugarcane Built tells the saga of Jules M. Burguières Sr. and five generations of Louisianans who, after the Civil War, established a sugar empire that has survived into the present. When twenty-seven-year-old Parisian immigrant Eugène D. Burguières landed at the Port of New Orleans in 1831, one of the oldest Louisiana dynasties began. Seen through the lens of one family, this book traces the Burguières from seventeenth-century France, to nineteenth- century New Orleans and rural south Louisiana and into the twenty-first century. It is also a rich portrait of an American region that has retained its vibrant French culture. As the sweeping narrative of the clan unfolds, so ...
La terre se réchauffe dangereusement et si nous ne faisons rien, demain verra la fin du monde. En matière de climat, le marché de la peur est florissant. Une peur bien utile, véritable instrument de pouvoir fondé sur la manipulation des émotions au détriment de la raison. Faut-il en effet rappeler quelques-unes des prophéties émises en 1970 par les premières assises écologistes du « Jour de la Terre », pour l’horizon de l’an 2000 : plus une goutte de pétrole, généralisation des famines sur tout le globe et réduction de l’espérance de vie à 49 ans aux Etats-Unis... Sans oublier le cri d’alarme lancé en 2008 par Al Gore, prix Nobel de la Paix 2007 et ancien vice-prÃ...
« La température de l’atmosphère s’élèvera de 9°cdurant le prochain demi-siècle »Magazine Science & Vie, numéro 633, avril 1970« La banquise est en chute libre...Une étude récente nous avertit qu’elle pourrait avoircomplètement disparu l’été, dans 7 ans seulement. »Al Gore, prix Nobel de la paix, Oslo, décembre 2007Selon le GIEC, le dioxyde de carbone (CO2) émis par l’Homme estresponsable du réchauffement de la terre. Il faudrait donc d’urgenceréduire nos émissions de CO2 si l’on veut éviter un cataclysme planétaire.Pourtant, comme le montrent les deux prévisions citées plus haut, depuisplusieurs décennies, toutes les annonces d’apocalypse ont été ...
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