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Regards au coeur
"Dans la tourmente des jours vacants Je suis sur le chemin du non-dit Aime-moi chère femme Aime-moi comme un mendiant ou comme un roi Et quand le temps sera clos Et quand tout sera fini Aime-moi encore Aime-moi comme un despote" C'est un véritable hymne à l'amour que signe José Rusotto. Oscillant entre lyrisme et simplicité d'une justesse confondante, sa plume déroule avec naturel ses déclarations enflammées. Un romantisme authentique et indéniable qui saura à coup sûr séduire les coeurs sensibles.
Une certaine attitude
"Au regard de ta posture À la solitude de ton innocence J'ai entrevu un autre regard, J'ai entrevu une autre solitude. Une autre innocence, une sorte de sollicitude... une autre aliénation de la béatitude... quelque chose d'inconstant, une régulation de la beauté qui ressemble à la Vérité... une intransigeance..." Dans la droite lignée de ses recueils précédents, José Russotto poursuit son exploration du sentiment amoureux et de l'adoration de l'être cher. À travers cette ode à la femme, le poète chante les louanges d'une Siegrid sacrée qui chavire le coeur, hante la mémoire et bouleverse les sens. Comment rester insensible à une plume si vibrante et authentique, si pure et aérienne?
Un matin, un soir
« Incomprise par ton entourage, molestée et humiliée, Tu as su t'en aller, Tu as su dire non. Comme un paria, Tu as traversé les steppes de la torpeur et du nauséabond marchandage. Tu as su t'en sortir. Aujourd'hui tu es au nirvana. Aujourd'hui tu es un nouveau Bouddha. L'amour a transcendé la matière. Sa vie a tué la mort. » « Un matin, un soir », ou une ode à la vie, au cap à tenir, à l'amour qui nous guide et nous transcende. Authenticité du propos, lyrisme de la plume : José Russotto se livre sans faux semblants, rendant hommage à la femme qui hante ses pensées comme au Seigneur qui l'écoute. Sentiments et foi s'entremêlent avec poésie pour accompagner nos pas et éclairer notre chemin.
Il fut un temps
"J'ai connu une vie ailleurs, J'étais écrivain, Je traçais des légendes et je te voyais du fin fond de mon millénaire. L'éternité nous tendait les bras... Comme une béatitude, Comme une conception. Et quand notre éternité sera épuisée comme une meurtrissure, Nous continuerons une autre vie. Nos enfants s'amuseront dans le jardin ineffable du temps qui s'écoule." Deux figures féminines ont marqué l'auteur: Siegrid, l'être chéri, et sa mère aujourd'hui décédée. Se dresse alors au fil de ce recueil un double hommage déclinant l'amour sous toutes ses formes. Du deuil à la déclaration, de la tendresse au désir, José Russotto nous conte les étoiles et leurs poussières, les explosions et leurs soupirs.
Tous les regards se valent
"Quand au tard de la nuit Quand au retour du jour Je te reverrai Avec qui seras-tu? Avec qui mourras-tu? Pas avec lui? Pas avec moi? Nous ne serons ni un? Nous ne serons ni deux? À quoi bon vivre? À quoi bon mourir? C'est décidé... je vais vivre C'est décidé... je ressuscite" Mots simples et expression limpide, illumination et fascination de la femme aimée, passion absolue et entêtée... Telles sont les marques de fabrique de ce nouveau recueil signé J. Russotto, où les poèmes s'avèrent aussi concis qu'intenses. Autrement dit, voici une oeuvre fulgurante et lumineuse, où se dit, entre spiritualité et sensualité, tout l'amour d'un homme.
Enfield
In the past half-century, Enfield has undergone a transformation from a rural mill-and-farming town of fifteen thousand to a substantial suburban community of forty-five thousand. Located in the north central part of the state on the eastern side of the Connecticut River, the town once known as the Carpet City began to change when the carpet industry moved parts of its operation south and Interstate 91 was built, bringing in new businesses and new residents. Enfield: 1950-1980 traces the changing landscape of Thompsonville, Enfield, and North Thompsonville through the carpet-making days to the town's recent past. Exceptional photographs depict major highway construction and the development of the regional mall district, the destructive forces of the 1955 flood and of fires throughout the years, and the unique leaders, businesses, and events that have shaped the town of today.
Chemin d'ici, chemin de là-bas
« J'ai vu le corbillard, La mort qui nous appelle Chaque instant de nos vies, L'impuissance humaine, L'incassable inconvenance de la mort... L'incompréhensible, L'immoralité du sujet. J'ai vu la mort sur son corbillard... J'ai vu respirer la mort, J'ai vu respirer le Dieu, J'ai vu respirer l'homme, J'ai vu respirer la divinité. » Car l'on court après le temps, en quête perpétuelle de l'inaccessible, à la recherche de ce « cœur palpitant de la transhumance », José Russotto invite la vie et la mort dans une valse troublante. Une chorégraphie qui nous entraîne et interpelle notre conscience, nous laissant chahutés par le spectre d'un amour rêvé, sublimé, inoubliable.
U.S. Navy Medicine
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Au-delà de tout
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