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Cette étude, en une démarche thérapeutique, vient rompre les amarres qui attachent la pensée politique à la démocratie mercantile, pour retourner aux sources africaines bantu et grecques anciennes de la gouvernance des hommes. Un tel retour aux sources a pour dessein de faire venir à l'actualité de la pensée et de la praxis, la bonne moralité ou la Maât de l'Égypte ancienne comme condition nécessaire et suffisante d'accession au pouvoir politique. L'ouvrage tente une application de la Bantucratie à travers le système politique Mbongui-Congo.
Cet ouvrage analyse, d'un point de vue métaphysique, l'idée africaine selon laquelle « la parole de l'homme, c'est l'homme lui-même ». La métaphysique, dans son acception académique, désigne la philosophie première ou la science fondamentale. Dans cette perspective, les réflexions rassemblées dans cet ouvrage sont une philosophie première de la parole dans le contexte africain.
L'à-propos quant à l'absence métathéorique que la théorie du développement de Boundja vient combler dans la philosophie contemporaine fait l'unanimité parmi les contributeurs. En outre, la théorie philosophique du développement de Boundja se démarque de la conception marxiste de celle-ci, dans la mesure où Boundja ancre la pensée philosophique fondamentale de type métaphysique dans la question du développement humain. Elle s'émancipe du volet socio-économique avec ses pesanteurs socio-historiques pour interroger le bien-être non calculé de l'humain. Dans une herméneutique circonstanciée, les auteurs examinent le développement non pas en confinant celui-ci aux vues de Boundja, mais en l'ouvrant aux interrogations sur l'humain et ses conditions ou ses possibilités de réalisation de vie épanouie.
L'à-propos quant à l'absence métathéorique que la théorie du développement de Boundja vient combler dans la philosophie contemporaine fait l'unanimité parmi les contributeurs. En outre, la théorie philosophique du développement de Boundja se démarque de la conception marxiste de celle-ci, dans la mesure où Boundja ancre la pensée philosophique fondamentale de type métaphysique dans la question du développement humain. Elle s'émancipe du volet socio-économique avec ses pesanteurs socio-historiques pour interroger le bien-être non calculé de l'humain. Dans une herméneutique circonstanciée, les auteurs examinent le développement non pas en confinant celui-ci aux vues de Boundja, mais en l'ouvrant aux interrogations sur l'humain et ses conditions ou ses possibilités de réalisation de vie épanouie.
Cet ouvrage a pour ambition d'analyser le développement humain comme thème de philosophie fondamentale. La réflexion philosophique sur le développement se situe en-deçà des analyses économiques et politiques ; elle pose les fondements théoriques du bien-être de l'individu. L'être humain ne se développe pas dans un cumul extérieur des choses du monde, mais dans un dépassement de soi, à l'intérieur de soi. L'ouvrage entend donner des outils conceptuels aux acteurs du développement en Afrique.
La place centrale de l'oralité oriente de manière décisive la conception et l'exercice de la souveraineté politique en Afrique contemporaine. Les rapports qui lient les peuples africains aux autorités souveraines, sont fondés sur un accueil affectif de la parole des autorités, sans une prise en compte consciente de leur action, et une évaluation des résultats de leur gouvernance politique. Pour une bonne gouvernance politique, il est urgent de suggérer aux politiques en Afrique l'émergence d'une éthique de la Constitution.
Cet ouvrage collectif présente les résultats de recherches sur la gouvernance politique, selon ses scansions éthique et philosophique, économique et financière, et territoriale. La contribution majeure de cet ouvrage est la modélisation de l'indice moral des dirigeants, couplée à la simulation numérique de trois indices de la bonne gouvernance, à savoir l'indice de la moralité des gouvernants (IMG), l'indice de gouvernance nationale (IGN) et l'indice de gouvernance générale (IGG). La modélisation de cet indice est faite sur la base des valeurs traditionnelles africaines de la gouvernance politique.
Les recherches présentées dans ce volume visent à analyser l'évènement comme le concept fondamental de la phénoménologie d'Emmanuel Lévinas. Cette phénoménologie elle-même se présente comme un évènement. Phénoménologie qui laisse à advenir la différence de l'autre : la venue de l'autre dans sa différence est un évènement, et la pensée qui tente de dire cette venue est aussi un évènement.
Fred Dallmayr bridges the gap between the self and the outside world in 'Freedom and Solidarity'. Drawing on new scholarship and his work with the World Public Forum Dialogue of Civilizations, he challenges dominant worldviews and heralds new possibilities for political thought and practice.