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Les Country Guides du Petit Futé sont des guides pour tous les voyageurs. Ils proposent une synthèse équilibrée d'informations pratiques et culturelles et sont conçus pour que les lecteurs puissent effectuer le voyage qui leur convient, seuls ou en groupe.
A la fin du XXe siècle, un nouveau mythe est né évoquant la situation privilégiée des femmes de Tahiti présentées comme socialement dominantes au point que certains ont qualifié la société tahitienne de matriarcat. Pourtant, les femmes et les enfants de ces îles ne sont pas épargnés par les violences conjugales et familiales. Ce livre démontre les paradoxes de cette situation.
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Polynésie, Mélanésie... mais aussi Australie, Micronésie : on ignore souvent que le découpage actuel de l’Océanie résulte d’une théorie raciste des «couleurs de peau», élaborée en France au début du XIXe siècle et préparée par des siècles d’interrogations européennes sur la présence des «Nègres du Pacifique». C’est aussi l’histoire d’un regard européen-masculin qui admira bien plus les femmes polynésiennes que les femmes des «îles noires» (Mélanésie). En rassemblant les divers traités français (ainsi que le traité anglais de J.R. Forster de 1778) qui ont prétendu donner une classification des peuples du Pacifique, en retraçant l’origine des app...
C’est l’histoire de Matamimi, la jeune femme aux yeux de chats. C’est l’histoire d’une jeune femme de notre temps, une insulaire polynésienne, immortalisée dans l’écriture. Elle est née et son père est un demi-dieu. Ni exceptionnellement belle, ni exceptionnelle tout court, Matamimi fait vibrer les quelques témoins de sa vie. Matamimi ou La vie nous attend ! est un récit purement subjectif, un concentré d’amour et d’espoir pour celles qui pensent avoir fait l’innommable. Un texte fort ou se mêlent avortement, amour, attachement à sa terre, exil, changements politiques et culturels
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La “découverte” de Tahiti (1767-69), les récits des voyageurs inventèrent une société où les jeunes femmes auraient eu pour règle de pratiquer “l’amour libre” et même de le faire “en public”. Le discours fut un point de vue masculin centré sur l’Europe, dissertant sur les variétés humaines et les couleurs de peau, mais aussi sur la supposée nature universelle des femmes. La vie publique, chez les aristocrates et chez les imprimeurs de Paris et de Londres, fut une course au sensationnel, à coup de rumeurs et de publications fantaisistes. Surtout la réécriture du journal de bord en un récit officiel “offert au roi” a tout brouillé. En retournant aux journau...