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La cuisine d’Albertine, notre journaliste-poissonnière, est une cuisine qui lui ressemble, haute en couleurs et en saveurs, faite pour le partage et la convivialité, revendiquant ses origines gabayes et saintongeaises, mais aussi intégrant les originalités rapportées de ses voyages, ou héritées des marins qui fréquentaient le port de Blaye du temps des grands trafics maritimes. Ainsi ont pourra découvrir les Pâtes des Damioches de Bacalan, retrouver la sauce de pires, ou la Tarte au Fian d’la Grand-mère Pissedru. Toujours écrit en saintongeais, la langue régionale du Sud-Vendée au Nord-Gironde, on trouvera des recettes expliquées de manière pittoresque, ainsi que quelques textes de nos bardes saintongheais. À déguster avec les excellents vins de Blaye, sans oublier le Cougnat avec modération bien évidemment (thieu l’arbigheoés que jhe qu’neussons pas !) L’ouvrage est préfacé par un auteur de roman de renom, Martial Maury, périgourdin pure souche, connaissant peu la langue saintongeaise, mais grand gourmet qui a su apprécier les arcettes de la thieusine d’Albertine ! À table !
Comme tous les dictionnaires, celui-ci contient par ordre alphabétique des mots. Mais il est, à ce jour, unique. C’est le premier dictionnaire du français vers le gabaye, le gabaye étant une variante girondine de la langue régionale saintongeaise. S’il existait deux ouvrages du gabaye vers le français, l’inverse avait été oublié. C’est maintenant chose corrigée avec le présent ouvrage. Le lecteur pourra ainsi, pour la plupart des mots français de la langue courante, trouver sa traduction en gabaye. Sont inclus aussi quelques rudiments de grammaire saintongeaise et quelques fiches thématiques pratiques facilitant la recherche d’une série de mots.
Pièce de théâtre en langue gabaye. Justin qui veut prendre sa retraite propose de vendre la ferme familiale à Firmin. Pour embellir l’offre, il propose d’inclure sa femme comme ouvrière dans le lot. Celle-ci ne l’entend pas ainsi…
Découverts par hasard, les carnets de guerre replongent le lecteur dans cette sale guerre, dans l’horreur la plus absolue, dans la vie quotidienne de ses hommes partis la fleur au fusil, et qui sont gagnés au fur et à mesure par la désillusion, au point parfois de souhaiter la mort, simplement pour que ça s’arrête. Le style est parfois cru, direct, sans fioriture. Comment faire autrement quand on est plongé jour et nuit dans la boue, le sang, la peur… Cette « Der des der », qui ne sera jamais la dernière.
Cet ouvrage est une sélection d’articles parus de 2004 à 2017 dans l’Ajhasse Désencruchée, journal satirique en langue saintongeaise, les éditos d’Albertine Pissedru, la Rédac-chef, des articles sur les évènements politiques nationaux ou locaux, sur la culture, avec les coup de gueule, ou les instants d’émotion. La pie moqueuse du Pays Gabaye s’en prend aux personnages publiques, ironise mais sans médisance, sans atteinte à la vie privée, seulement ce qu’on peut lire ou voir par ailleurs mais à la sauce Pissedru, la poissonnière-journaliste de Blaye, sa ville natale au bord de l’Estuaire de la Gironde.
Une initiation simple à la langue saintongeaise, avec humour, extraits de textes typiques pour acquérir rapidement de bonnes notions de notre « jhabraille », cher aux habitant du Centre-Ouest. C’est une petite immersion dans la culture de cette région bénie des dieux qui s’étend du sud de la Vendée au nord de la Gironde, aire géographique encore très rurale au parler savoureux et rieur, aux senteurs de pineau, de Cognac, de vin des Côtes de Blaye accompagnant les pibales, les huîtres de Marennes-Oléron, sans oublier les cagouilles, l’emblème des saintongeais, surnommés les « cagouillards » pour leur allure nonchalante qui cache souvent une vivacité d’esprit peu commune, comme en témoignent les expressions typiques de l’idiome.
Une initiation simple à la langue saintongeaise, avec humour, extraits de textes typiques pour acquérir rapidement de bonnes notions de notre « jhabraille », cher aux habitant du Centre-Ouest. C’est une petite immersion dans la culture de cette région bénie des dieux qui s’étend du sud de la Vendée au nord de la Gironde, aire géographique encore très rurale au parler savoureux et rieur, aux senteurs de pineau, de Cognac, de vin des Côtes de Blaye accompagnant les pibales, les huîtres de Marennes-Oléron, sans oublier les cagouilles, l’emblème des saintongeais, surnommés les « cagouillards » pour leur allure nonchalante qui cache souvent une vivacité d’esprit peu commune, comme en témoignent les expressions typiques de l’idiome.
Les Voéyaghes d’Albertine La Compiète est la compilation de la P’rmière et de la Deuxième rabalée augmentée de textes nouveaux, d’Albertine Pissedru, rédactrice en chef du journal satirique l’Ajhasse Désencruchée, racontés en saintongeais et dans sa variante gabaye, langue régionale si pittoresque, et imagée, et qui se prête si bien à l’humour. Du Pays Gabaye, au nord de la Gironde, et plus particulièrement la région de Blaye, en passant par les Balkans et l’Allemagne, l’Angleterre, la Chine entre autre, Albertine livre sa vision du monde, pas toujours objective, mais toujours souriante. Sans oublier ses études très poussées sur la gastronomie des régions qu’elle traverse… Fan d’la mère ! Bons voéyaghes, les Drôlesses et les Drôles. Albertine vous bijhe sû les deus jhotes, troés cots d’allée et v’nue.
Les probabilités et les statistiques sont abordées à la façon gaillarde et souvent humoristique par l’auteur qui n’est pas mathématicien, tout en rendant un texte sérieux malgré tout. L’auteur essaie dans cet ouvrage de rendre abordables des notions mathématiques qui apparaissent souvent rébarbatives et repoussantes, alors qu’elles sont essentielles dans notre vie quotidienne : sondages, études scientifiques, jeux de hasard… Rien n’échappe à ce domaine des mathématiques, sauf l’interprétation qu’il faudrait en faire quand on ne maîtrise pas ces notions.
En mission œnologique et viticole pour le Château Safinat Nuh au Liban, Parthena et Ernest Rudel sont enlevés par un groupe armé du Hezbollah. Ils deviennent otages pour forcer le gouvernement français à négocier un renoncement à son soutien à la politique d’Israël pour le Sud-Liban. Un libération rapide semble impossible. Mickey et Claude, les amis du couple, deviennent malgré eux, « honorables correspondants » des services de renseignements français…