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Video games are a global phenomenon, international in their scope and democratic in their appeal. This is the first volume dedicated to the subject of apocalyptic video games. Its two dozen papers engage the subject comprehensively, from game design to player experience, and from the perspectives of content, theme, sound, ludic textures, and social function. The volume offers scholars, students, and general readers a thorough overview of this unique expression of the apocalyptic imagination in popular culture, and novel insights into an important facet of contemporary digital society.
Comment expliquer cet engouement pour la figure du mort-vivant ? Le zombie n’est pas cantonné au régime fictionnel. On le retrouve dans des annonces publicitaires, dans des ouvrages didactiques et dans l’espace public.
« C’est grâce aux récits que les Homo sapiens ont pu s’éparpiller sur toute la planète. [...] Le récit oral, c’est ce qui nous permet non seulement de communiquer les uns avec les autres, mais aussi de transmettre [...] du savoir, du savoir-faire, des émotions, des valeurs, des souvenirs, des descriptions historiques. La télésérie, c’est la forme, à l’heure actuelle, la plus aboutie de récit qui mêle toutes les notions et tous les savoirs. » — Martin Winckler, colloque Télé en séries, Université de Montréal, mai 2014. La série télévisée semble en effet être l’une des formes narratives qui raconte le mieux notre époque, en témoigne l’intérêt qu’el...
Qu’est-ce qu’un zombie ? Un « paradoxe ambulant » précédé d’une odeur nauséabonde, selon certains ; un « héros culturel de l’ère néobaroque », selon d’autres. Parfois comique, le plus souvent terrifiant, cet être putride possède un insatiable appétit pour la chair fraîche et, occasionnellement, le sexe. Le monstre a envahi depuis longtemps la culture populaire : cinéma, bande dessinée, télévision, littérature et jeux vidéo regorgent de sa répugnante présence, qui commence aussi à infester le monde universitaire. À preuve, ce livre où des spécialistes de diverses disciplines se penchent sur le phénomène des morts-vivants, et posent des hypothèses pour mieux comprendre leur incroyable vitalité dans la psyché collective. Bernard Perron est professeur titulaire au Département d’histoire de l’art et d’études cinématographiques de l’Université de Montréal. Antonio Dominguez Leiva et Samuel Archibald sont tous deux professeurs au Département d’études littéraires de l’Université du Québec à Montréal.
Le point de départ de ce livre est le projet de recherche-création « Théâtre sonore et voix de femmes incarcérées dans un dispositif de récits de soi ». Les trois années de nos activités de création firent place à un colloque, à plusieurs sessions intensives de travail dans une maison de transition, à un documentaire sonore et au volume collectif que vous avez entre les mains.
C’est moi, Artaud, Antonin, cinquante piges, qui le fais, de prendre la peau, et de la crever, au lieu d’attendre son rétablissement physiologique par suppôt dans le sens du papa nouveau, de même que quand le vertige a lieu, je ne m’en réfère pas à dieu de redresser les enfants du père, mais premièrement je laisse pisser le mérinos, en frappant à coups de pied les êtres, pour qu’ils s’éloignent de mon feu. C’est lui, mon compagnon de longue date, peut-être le plus ancien. Je range Antonin Artaud dans la catégorie de mes « écrivains méchants », aux côtés de V. S. Naipaul et de Thomas Bernhard. Comme eux, il a puisé à sa propre vie, obsédé par la filiation et la famille, pour construire un cosmos en modèle réduit. Des trois, Artaud est néanmoins celui qui va le plus loin : corps émietté, visage défiguré, multitude d’avatars et de doubles... Cela insuffle à sa trajectoire la fulgurante incandescence d’un astre errant, traversé par l’électricité, et capable, telle une divinité, de faire gronder le tonnerre et l’ouragan.
Par la recherche, mais aussi par la création, les auteurs et autrices offrent, en filigrane, des possibilités de repenser le rapport entre patient et patiente et médecin en réfléchissant à une approche plus globale de la douleur et de la maladie, où la parole, la littérature, la philosophie, la danse, la peinture, le récit auraient une place, non pas pour guérir, mais, peut-être, pour soigner.
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Canadian Science Fiction, Fantasy, and Horror: Bridging the Solitudes exposes the limitations of the solitudes concept so often applied uncritically to the Canadian experience. This volume examines Canadian and Québécois literature of the fantastic across its genres—such as science fiction, fantasy, horror, indigenous futurism, and others—and considers how its interrogation of colonialism, nationalism, race, and gender works to bridge multiple solitudes. Utilizing a transnational lens, this volume reveals how the fantastic is ready-made for exploring, in non-literal terms, the complex and problematic nature of intercultural engagement.
Philippe de Avellar percorre, em seu Espelho-monstro: Bizango, reflexos e reflexões, um percurso analítico de excelência — criativo, rigoroso e com fortuna crítica abrangente — para buscar compreender a presença de monstros e figuras monstruosas na cultura, sobretudo na literatura. Tirando partido da pluralidade, das ambiguidades e das representações identitárias em eterno devir, o autor examina diversas acepções do ser-monstro, examinando figuras, ao mesmo tempo, misteriosas, transgressoras, mutantes, inadequadas, incompletas, incompreendidas, sedutoras, seduzidas, repulsivas, (in)felizes e amedrontadoras. Essa enumeração vertiginosa, é preciso salientar, espelha as múltip...