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In the past, the European social sciences labelled and discredited knowledge that did not follow the definition for scientific knowledge as applied by the European social sciences as an alternative concept of knowledge, as “indigenous” knowledge. Perception has changed with time: Not only has indigenous knowledge become an entrance ticket to the European social science world, but the indigenization of European theories is seen by some as the contribution of “peripheral” social sciences to join the theories of the “centers”. This book offers contributions to the discourses about alternative concepts of knowledge, inviting the reader to decide if they are alternative, indigenous, or European types of knowledge. However, in order to make this decision, the reader must know what the nature of the European concepts of science and of scientific knowledge is; this might be a motivation to read a book that presents thoughts claiming to be alternative concepts of knowledge, alternative to the European concept of science.
This innovative book provides new perspectives on the globalization of knowledge and the notion of hegemonic sciences. Tying together contributions of authors from all across the world, it challenges existing theories of hegemonic sciences and sheds new light on how they have been and are being constructed. Examining more closely the notions of 'human rights' and 'individualization', this much-needed volume offers new and alternative ideas on how to transform the universalization of the Western model of science and can serve as an eye-opener for all those interested in non-hegemonic scientific discourse. This book is published within the Series 'Beyond the Social Sciences'.
The bilingual, French–English journal Méthod(e)s, founded in 2015, is an African initiative with the objective to enlarge the methodological debates on the Global South. The desire for a strong understanding of methodology is to situate it above academic trends, thereby placing it in line with a universal history of the sciences. Just as calling dominant paradigms into question leaves room for creative opportunities, so does the comparison of theoretical approaches and technical models of data collection. Questions related to methods are not purely technical or merely philosophical reflections. The examination of the method used in scientific investigations necessarily leads us to questio...
This volume presents perspectives on spatially construed knowledge systems and their struggle to interrelate. Western social sciences tend to be wrapped up in very specific, exclusionary discourses, and Northern and Southern knowledge systems are sidelined. Spatial Social Thought reimagines the social sciences as a place of encounter between all spatially bound, parochial knowledge systems.
La théorie culturelle et esthétique postcoloniale fixe les difficultés du continent africain dans une stylistique de l’horreur et une anthropologie de l’échec et de l’impuissance culturelle. Elle produit une lecture minoritaire, marginale et hybride des productions artistiques africaines, découvrant ainsi leur caractère indéterminé et interstitiel. Le postcolonialisme appréhende la création culturelle africaine sur le mode de l’enchevêtrement et selon la loi de la circulation des mondes imposée par le capitalisme transnational. Il sort dès lors de la problématique de la libération nationale, s’interdisant de fait toute pensée véritable de l’émancipation. Cette p...
La 4e de couv. indique : "Les paradigmes de paix, de dialogue interculturel, de dignité des peuples, de sécurité des États etc., ouvrent l'expérience analytique des co-auteurs de cet ouvrage à la phénoménologie des utopies du vivre-ensemble. À partir des textes et des approches interdisciplinaires qui tranchent avec l'académisme scientifique de courte échelle, ce livre démêle les écheveaux de la violence (sensible problématique de mode en Afrique et dans le reste des continents) et questionne sa légitimité dans la vie quotidienne ou de l'État. Il permet de comprendre que la violence oscille entre un acte qui contrarie une volonté de quiétude et l'émergence de l'audace de construire une voie de vérité stratégique durable. Aussi, l'âme éditoriale présente-elle la civilisation contemporaine dans une histoire de violence (Louis) ou de guerres justes (Neyrac), tirant la sonnette d'alarme sur le danger des identités meurtrières (Maalouf), en passe, de devenir le modèle tragique. À regret !"
"À travers la mise en avant de leurs sources plus ou moins reconnues (French theory, subaltern studies de Delhi, traditions intellectuelles d'Afrique noire, cultural studies, écrits anticoloniaux de Frantz Fanon, Chinua Achebe, Aimé Césaire, Albert Memmi) et de leurs connexions avec d'autres champs de recherche contemporains (queer studies, études francophones, black studies), les études postcoloniales sont apparues comme une sorte de laboratoire expérimentant des perspectives pluridisciplinaires : étrangères à toute orthodoxie, elles se placent à l'intersection de diverses problématiques, politiques, linguistiques ou identitaires, non sans une certaine propension à faire retour...
La question des enjeux de la testabilité intersubjective et de l’impact de la transposition du rationalisme critique sur l’art, la politique et la pédagogie continue de se poser de nos jours. Cet ouvrage constitue sans aucun doute le meilleur moyen d’actualiser la pensée de Sir Karl sur ces aspects. Il présente cette transposition conceptuelle en mettant l’accent sur le libéralisme épistémologique, politique et artistique de Popper. En articulant les différentes contributions sur l’approche poppérienne de la rationalité scientifique, artistique, pédagogique et politique, l’ouvrage donne à découvrir que création artistique, approche pédagogique, conception politique et découverte scientifique ont des points communs. Ce livre indique précisément pourquoi Popper est devenu une référence pour les artistes, les scientifiques, les économistes et les politiques.
Anatole Fogou, Flora Amabiamina et leurs collègues universitaires se penchent sur la question identitaire des africains mais aussi sur la problématique identitaire en général Cet ouvrage montre combien il est difficile de réclamer et de faire valoir une identité unique dans un monde en proie aux migrations et partant à diverses mutations ; en somme, la difficulté à déterminer l’unique à partir du divers, de la multiplicité, la difficulté de vivre en autarcie dans un monde ouvert, malgré les menaces et les risques de perte que la relation génère pour soi. Ainsi, le monde est désormais contraint au partage des identités en raison des circulations des hommes, des idées, des...