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Media and Nostalgia is an interdisciplinary and international exploration of media and their relation to nostalgia. Each chapter demonstrates how nostalgia has always been a media-related matter, studying also the recent nostalgia boom by analysing, among others, digital photography, television series and home videos.
As a geo-historical place, the beach integrates a variety of characteristics and functions so multiple that they tend to contradict each other. The beach is both a place of work and trade but also of leisure; it is both a place of therapy and health but also of migration, war, and death; it is a place of mass tourism and boredom but also the place of experiencing the Other; it is a public place but also an uncivilized and desolate place. This book studies the literary representation of the beach from ancient Greek literature up until today, drawing on English, French, Italian, American, and Spanish literatures from various periods and genres and presenting multiple ways of comparing and unde...
This volume shows that the cultural production of nostalgia is a major tool for structuring feelings of resentment and anxiety. The current volume is concerned with collective nostalgia as it has been elicited, channeled, and weaponized by media production agents. The book aims to analyze how the performing arts and media (music, cinema, TV, etc.) generate and shape the feeling of collective nostalgia. It shows how the cultural production of nostalgia reflects distinct social-political contexts and serves particular political purposes. The collective monograph prioritizes cases from the post-Soviet context. However, the authors do not argue that the collapse of the socialist bloc in general,...
Le présent ouvrage rassemble les contributions de neufs chercheurs et chercheuses internationaux – Brent Adkins, Manola Antonioli, Jean-Pierre Cléro, Maël Guesdon, Yoann Hervey, Viviana Lipuma, Léo Pinguet, Marc Rölli et Caroline San Martin – qui, chacun à leur manière, entendent rendre compte de cet idiome original qu’est la philosophie de Gilles Deleuze. Ces contributions sont organisées autour de quatre grandes thématiques : l’esthétique, la politique, la linguistique et la métaphysique.
Extrait : J’ai un chat, on l’appelle MINOU. Son pelage est orange, c’est un MINOU ROUX. Il prend soin de ses poils, c’est un DOUX MINOU ROUX. Il est tellement mignon qu’on le surnomme le CHOU DOUX MINOU ROUX. Il est plutôt fainéant. C’est un CHOU DOUX MINOU ROUX MOU. Les nuits de pleine lune, il se transforme. On l’appelle alors le CHOU DOUX MINOU ROUX GAROU MOU. Quand il me voit au milieu de mes peluches, il devient carrément CHOU DOUX MINOU ROUX GAROU MOU JALOUX. Notes particulières : 2 ans et plus
This volume presents the concepts of schizoanalysis and ecosophy as Felix Guattari and Gilles Deleuze understood them, in interviews and analyses by their contemporaries and followers. This accessible yet authoritative introduction is written by distinguished specialists, combining testimonies from some of Guattari's colleagues at the La Borde psychiatric clinic where he practiced, with expository essays on his main ideas, schizoanalysis and ecosophy, as well as his relations with Lacan. The last section of the book deals with the subsequent creative application of those ideas by his philosophical and psychoanalytic followers situated within the contemporary moment. This collection also provides the crucial historical context of France at the time Guattari was developing his concepts, including the role of the Maoists and the significance of the political situation in Algeria.
Durante la Ocupación, dos veces a la semana un hombre realiza el mismo trayecto en autobús atravesando un desabrido paisaje. En sus repetidos viajes, en medio de una espesura propia de una pesadilla, vislumbra una casa en la que todo emana decrepitud y abandono. Intrigado, el narrador siente la imperiosa necesidad de disipar la bruma del «hechizo de ese bosque sin alegría» y una plomiza tarde de noviembre se decide a visitar la mansión. En su caminar por esa tierra baldía, todo adquiere una dimensión fantástica que confiere al protagonista los atributos de un Perceval moderno en busca de un grial apenas imaginado. En este relato, inédito hasta ahora y quintaesencia de la ficción gracquiana, el autor, con su gran sentido para crear suspense y expectación, disecciona uno de los temas principales de su obra narrativa, la espera y, en última instancia, la transformación de la curiosidad en puro deseo sensual. Un texto en el que resuenan los ecos oníricos de La orilla de las Sirtes y En el castillo de Argol, y en el que se deja ver el influjo de la literatura medieval y de Edgar Allan Poe.
Anicet Descartes, ex-flic “brut de décoffrage” devenu détective privé à la petite semaine, reçoit la visite d'un ancien camarade de lycée perdu de vue. Celui-ci, à présent Provincial de la puissante Compagnie de Jésus, lui demande d'enquêter discrètement sur deux décès récents de jésuites qui, bien qu'en apparence accidentels, lui apparaissent suspects. Très réticent à aider celui qui, à l'époque, fut son heureux rival, Descartes, plein de défiance et de rancœur mais aussi d'ironie, finit par accepter par pur appât du gain. Pour ce tandem improbable de bras cassés excessifs et attachants, commence alors une course contre la montre pour arrêter un tueur en série soi-disant investi d'une mission divine, où tout semble étrangement les ramener à la fameuse querelle de Port-Royal qui, au XVIIe siècle, sous l'égide de Blaise Pascal, vit s'affronter jésuites et jansénistes ; l'occasion, pour nos deux cabossés de la vie, de tenter maladroitement de se réconcilier.
Novembre 1961 - Robert vient de réussir le concours du barreau de Paris et retourne passer chez ses parents dans le bocage vendéen les quinze jours qui le séparent de son départ au Service militaire en Algérie. C'est là qu'il apprend que le corps de son ami d'enfance vient d'être retrouvé dans un petit cours d'eau proche du village. Bouleversé et bientôt choqué par les conclusions de l'enquête officielle, incohérentes à ses yeux avec certains détails auxquels il semble seul prêter attention, il décide, malgré son inexpérience, de mener ses propres investigations, ayant pour uniques atouts sa connaissance intime des lieux et des protagonistes. Un meurtre particulièrement brutal va remettre en question ses certitudes tandis que lui-même se sent de plus en plus menacé. Un roman policier « à énigme » dans la tradition anglo-saxonne adaptée au terroir, prétexte à une plongée à la fois nostalgique et ironique dans la France d'après-guerre, ses flamboiements et ses zones d'ombre, vue depuis un microcosme rural que l'auteur fréquente et chérit intimement.
Y Gododdin, c'est-à-dire Ceux du Gododdin, attribué au barde Aneirin, consiste en une longue déploration sur les trois cents guerriers tués à la bataille, peut-être mythique, de Catraeth (près d'Edimbourg) à la fin du VIe siècle (soit un demi-siècle après celle de Camlann qui clôt la légende arthurienne), une des dernières où les bretons, à l'exemple des trois cents Spartiates de Léonidas qui tinrent tête à Xérès aux Thermpyles, tentèrent en vain de s'opposer à l'expansion saxonne. Si cette épopée à la datation aléatoire (le seul manscrit connu date du XIIIe siècle, mais pourrait être la copie d'un plus ancien, sans doute du IXe siècle, soit deux siècles au moins avant notre Chanson de Roland) est relativement populaire en Grande-Bretagne, elle est à peu près inconnue en France. Ce livre n'en est en aucune façon la traduction : il ne se veut qu'un exercice d'admiration, une sorte d'imitation à la fois respectueuse et libre.