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This is a short book about the most prominent sign of our times. The simple # sign is now used so widely that it is easy to overlook the fundamental effects it has had in the structuring of public debate. With its help, statements are bundled together and discourse is organized and amplified around common buzzwords. This method enables us to navigate more easily the huge volume of online utterances, but it also increases the risk of leveling statements and extinguishing difference, as exemplified by the #MeToo debate. Andreas Bernard traces the young and spectacular career of the humble hashtag. He follows the history of the # sign, documenting its use by Twitter and Instagram, and then examines the most prominent contemporary domains of the sign in socio-political activism and in marketing – two apparently very different fields which are united in their passion for the hashtag. Theory of the Hashtag shines a bright light on a small but pervasive feature of our contemporary digital culture and shows how it is surreptitiously shaping the public sphere.
This thoroughly engaging book uses empirical analysis to illustrate that the response of individuals to global terror events, via social media, provokes an opportunity to interpret the ways in which individuals view their place in the world and their relation to law and justice. It is through analysing these responses that Cassandra Sharp demonstrates that a ‘hashtag jurisprudence’ can be constructed.
The rise of intelligence and computation within technology has created an eruption of potential applications in numerous professional industries. Techniques such as data analysis, cloud computing, machine learning, and others have altered the traditional processes of various disciplines including healthcare, economics, transportation, and politics. Information technology in today’s world is beginning to uncover opportunities for experts in these fields that they are not yet aware of. The exposure of specific instances in which these devices are being implemented will assist other specialists in how to successfully utilize these transformative tools with the appropriate amount of discretion...
À la fois mouche dans la soupe et cerise sur le sundae, les Contes bougons de Stephane Ilinski forment un petit ovni truffé de clins d’œil. On en ressort comme d’un manège à sensations : hirsute, incrédule, mais tout sourire.
Sur le décor d’une Montréal foisonnante en identités multiples, La bigame parle de tradition, d’exil et de déracinement. Le va-et-vient entre deux hommes et deux maisons représente en même temps une relation bigame avec le présent et le passé.
Brun propose une analyse actuelle de la politique raciale des pays développés qui affecte des millions de personnes originaires des pays pauvres. Alors que la montée des mouvements populistes en Europe et aux États-Unis a aggravé le statut des travailleurs migrants, le peuple brun, importé en tant que main-d’œuvre bon marché, est aujourd’hui victime d’une nouvelle forme d’exploitation.
Ce docu-roman s’inscrit dans un cycle ouvert en 2007 avec le « Coup de Cœur » de Renaud-Bray, Sweet, Sweet China. Débutée en Asie, la quête identitaire du personnage Augusta se poursuit dans le Grand Nord. Confrontée à la face cachée des deux solitudes, elle est aux prises avec une vie d’errance, de même qu’avec l’évidence troublante de l’âge. La leçon de Tshakapesh dans les collines glacées de la taïga est que l’amour est toujours plus fort que la haine.
À travers sa réflexion sur les autrices Woolf, Plath et Tsvetaïeva, Hardy réfléchit ainsi à son propre sort, à sa propre situation, à la littérature, à l’écriture, à la publication et à la critique. Les écrivaines l’inspirent et l’aident à comprendre son parcours, son cheminement et son rapport au monde. Elles l’aident à composer et à recomposer son monde, à se définir. En lisant leurs œuvres, elle s’interroge sur « l’écriture des femmes, leur place dans la littérature, dans la société », sur sa « propre place, une place difficile à prendre, mais avant tout à cerner. »
History of the struggle leading up to #MeToo and beyond: from the first tales of workplace harassment percolating to the surface in the 1970s, to the Clinton/Lewinsky scandal, when liberal women largely forgave Clinton, giving men a free pass for two decades. Many liberals even resisted the movement to end rape on campus.
Fermer les yeux ne suffit pas, c’est le portrait d’une vie marginale, d’un père qui n’a jamais su comment devenir père et d’une famille dysfonctionnelle qui se tient, malgré tout. À travers ce récit intimiste au style aussi épuré qu’efficace, huis clos dont on ne sort pas indemne, Danny Émond explore les thèmes de l’incommunicabilité, du refoulement et du deuil.