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Chronique des loisirs de la haute société dans la France de l'entre-deux-guerres, ce catalogue rend hommage à une époque et un style, ainsi qu'aux travaux photographiques de trois frères, Jules, Louis et Henri.
" Sebastiao Salgado nous livre un portrait de notre monde qui parle de la voix la plus rare qui soit, cette voix qui nous dit des choses que nous ne voulons pas savoir, des choses, peut-être, que nous ne savons pas appréhender, mais qui, lorsqu'on nous les dit, s'imposent instantanément comme vraies " (Salman Rushdie, préface). Les cent trente-six images sélectionnées pour l'exposition que la Bibliothèque nationale de France consacre à ce grand photographe dans le cadre de l'année du Brésil, témoignent de l'action de l'homme sur son milieu naturel ou, au rebours, de l'adaptation de ce dernier aux données d'un environnement en mutation. Qu'il s'agisse de la vie simple et rude des ...
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L'architecture nourrit son art de failles et de saignées ouvertes dans le corps de la ville. D'éphémères chantiers en dévoilent les entrailles, couches sédimentaires, traces de vie passées et d'événements successifs, signes proliférant d'une transformation infinie....
Né à Budapest le 22 octobre 1913 sous le nom d'Endre Friedmann, dans une famille de la bourgeoisie juive, il est arrêté en 1931 à l'âge de dix-sept ans pour activités antifascistes et contraint par le régime de l'amiral Horthy à quitter la Hongrie. Il part pour Berlin où il trouve un travail dans une agence de photographie. En 1932, il réalise à Copenhague son premier reportage consacré à un meeting de Léon Trotski en exil, mais l'arrivée de Hitler au pouvoir le contraint à nouveau à l'errance. Il s'établit à Paris en septembre 1933. Dans le quartier de Montparnasse, où se regroupent les étrangers, il noue des contacts avec des photographes qui deviennent ses amis : son...
En 1971, la Bibliothèque nationale présenta une exposition consacrée à de jeunes Américains alors peu connus. Loin du pictorialisme, à distance du pur document, ces photographes ne rompaient pourtant pas avec la riche tradition qu'incarnaient Walker Evans, Harry Callahan ou Aaron Siskind.¦¦Le portrait (Diane Arbus), le paysage (Paul Caponigro, Lewis Baltz), les expérimentations photographiques (Duane Michals ou Les Krims) font écho aux scènes de rue de Garry Winogrand, William Klein, aux héros marginaux de Larry Clark, à l'humour décalé de Bill Owens. L'ensemble offre la part belle à l'onirisme et au fantasme.¦¦Cette nouvelle exposition et son catalogue mettent en évidence l'audace et la vigueur des formes. Elle entend montrer la confondante liberté qui, à cette époque, balaya les stéréotypes et exerce encore son emprise sur la conception postmoderne de la photographie.¦¦