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This deluxe illustrated volume brings together tales of the world's most celebrated owners of Louis Vuitton luggage.
An eminent historian recounts the Nazi rise to power from his unique perspective as a young Jewish boy in Munich, living with Adolf Hitler as his neighbor. Edgar Feuchtwanger came from a prominent German-Jewish family--the only son of a respected editor and the nephew of a best-selling author, Lion Feuchtwanger. He was a carefree five-year-old, pampered by his parents and his nanny, when Adolf Hitler, the leader of the Nazi Party, moved into the building opposite theirs in Munich. In 1933 the joy of this untroubled life was shattered. Hitler had been named Chancellor. Edgar's parents, stripped of their rights as citizens, tried to protect him from increasingly degrading realities. In class, ...
On demande aux élèves d'apprendre, de travailler et de réussir. Mais on leur donne rarement la méthode pour y arriver !
Notre époque est celle de la mondialisation, de la guerre économique à outrance, mais aussi celle de l'information : de plus en plus, les médias semblent conditionner de multiples domaines et nous assistons au développement d'une frénésie de savoir qui engendre parallèlement un phénomène de paranoïa. Or pour les auteurs de cet ouvrage, il est tout à fait certain que "trop d'information tue l'information " et ils se proposent donc, à travers cet essai, de nous amener à mieux comprendre et gérer l'information, en s'attachant notamment aux ficelles de ce fait de société, c'est-à-dire la collecte des renseignements. Aujourd'hui, l'information est sans conteste le nerf de la guerre économique et par là même une clé du pouvoir économico-politique. A travers une réflexion sur ce qu'est le renseignement et de quelles manières il peut être obtenu, Franck Boulot et Didier Violle élaborent un ouvrage à la fois didactique et agréable à lire. Chacun trouvera là un outil de compréhension pratique, illustré d'une multitude d'exemples, qui devrait permettre de mieux gérer notre rapport à l'information et ainsi, peut-être, d'éviter des dérives.
1977 : là où se tenaient hier encore le vide et l’ennui, paradait une nouvelle bande arborant un look encore plus cool que celui de Marlon Brando dans L’Équipée sauvage. Le punk rock étant basé sur trois accords, Kick Out The Jams, Motherfuckers! se devait de comporter trois parties. 1) Une longue introduction, suivie d’une chronologie, raconte la naissance du mouvement. 2) « De A comme Adverts, à Z comme Zip » passe en revue les groupes, les festivals (Mont-de-Marsan, Screen On The Green…), les lieux (The Roxy, 100 Club…), les fringues (combinaison R.A.F., hand me down…), les drogues, les figures tutélaires (MC5, Iggy Pop…), les personnages (Malcolm McLaren, Miss O.D.…), les films, les livres, les albums, les singles… et le reste. 3) Le dernier chapitre réunit les témoignages d’artistes fondateurs ou dont l’œuvre porte la marque indélébile du spirit of 77 (Colin Newman, James Chance, Daniel Darc, Tai-Luc…). Que dire de plus, sinon que Kick Out The Jams, Motherfuckers ! est le fruit de cinq années de recherches, qu’il contient plus d’une centaine d’illustrations… et s’écoute fort !
La low-tech n'a pas de définition officielle. Du moins pas encore. Et heureusement ! Ce concept en anglais, imaginé par des français, a une mosaïque de définitions qui font sa richesse. Ce livre tente... de mettre un peu d'ordre dans tout ça, sans, pour autant, mettre un terme aux débats qui animent la communauté low-tech francophone. À PROPOS DE L'AUTEUR Journaliste, réacteur en chef du Low-Tech Journal, Jacques Tiberi est une des figures du mouvement écologiste "low-tech" et futurologue à ses heures. Depuis une dizaine d'années, il documente, avec une plume à la fois habitée ...et ciselée, l'effondrement de notre système techno-indsutriel et la naissance du monde d’après. Il enseigne la com et le journalisme à l’ESG-Act et aux Arts & Métiers.
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A Paris, à l'automne 1985, une lycéenne de 16 ans dépose, d'un coup de mobylette, une longue lettre sous la porte de Serge Gainsbourg, 5 bis rue de Verneuil. Quelques heures plus tard, celui-ci l'appelle et l'invite à dîner.C'est le début d'une liaison qui durera jusqu'à la mort de Gainsbourg, en mars 1991. Serge et Constance se voient régulièrement, chez l'artiste ou ailleurs. Restaurant, séance de travail, boîte de nuit, émission TV, virée au commissariat voisin, palace parisien, nuits blanches : ils partagent nombre d'excentricités. " Constant dans l'inconstance/Tu ne sais pas où tu vas ", écrit Serge dans Sois plus doux avec moi, en forme de clin d'oeil. Constance Meyer n'avait jamais fait état publiquement de cette relation. 25 ans plus tard, elle nous livre ce récit personnel, tendre et poétique. Ses mots, pour quitter le silence du secret, servent de thérapie à la jeune fille devenue femme.
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